Bruges-la-morte
uvoir indéfinissable que
e de l'être. Hugues l'avait expérimenté avec une acuité qui décida de sa destinée sans remède. Pour avoir vécu dix ans auprès d'une femme t
lasse à posséder le même bien. On ne jouit du bonheur, comme de la santé,
leur fait part égale, les joint en un point imprécis. La resse
ffinement opère: charme d'une femme nouvel
nt dès longtemps sensibilisé jusqu'à ces nuances d'ame. N'est-ce pas d'ailleurs par un
ouffreteux, qui rattachait par mille liens ténus les choses entre elles, apparentait les arbres par
ruges, Bruges d'où la mer s'était re
nce, et parce que sa pensée serait à l'uni
gris comme fait avec le blanc des coiffes de religieuses et le noir des soutanes de prêtr
s de blanc; mais, tout à c?té, d'autres sont noires, fusains sévères, eaux-fortes br?lées dont les encres y remédient, compensent les ton
ouaté, fondu dans l'espace, il arrive en une rumeur égalem
bleu, tuiles des toits, neige des cygnes voguant, verdure de
it quelle chimie de l'atmosphère qui neutralise les couleurs trop vives,
ntes, le passage des cloches eussent influencé, par leur alliage, la couleur de l'air- et aussi, en cette ville
gies imperceptiblement et s?rement s'ensabler, s'enliser sous cette petite pous
ore, mais d'une fa?on inverse. Comment, et par quelle manigance de la destinée, dans cette Bruges si
s à l'enivrement de cette ressemblance de Jane avec la morte, comm