Bas les coeurs!
de déjeuner.
ne sa
oi d
Merlin e
Vous êt
dans son jardin, en tra
plus
a tête; le front tout entortillé.
drait mieux savoir à quoi s'en tenir, car enfin on ne peu
e, sans dou
il a attrapé ses horions à la manifestation...
e l
'Eau, aux cris de: Vive la paix! Cette manifestation est accueillie par des sifflets partis des bas-c?tés des boulevards. Et bient?t la foule, ne pouvant plus conteni
l hoche
bien qu'avec des idée
très surexcitée. Et si tu veux, Jean, tu vas t'en al
onvient pas beaucoup. Je
ne voudra pe
pour y passer des demi-journées entières, chez le
Merlin, rien du tout; je ne lui tirerai pas les vers du nez. Et s'il me r
de frotteur à la main et un pied déchaussé. Il fr
errai, ce garnement-là, je lui donnerai de mes nouvelles; il m'a cassé un pied de dahlia... T
ieur Merlin
fro
nds bient?t le va-et-vient de la cire sur le plancher, suivi du
t pas choisir ce moment-là pour le taquiner. Quand il vous a dit: ?Je frotte!? il n'y a plus qu'à le laisser tranquille. ?Je frotte!? c'est un avertissement, une menace; ce n'est pas, comme on pourrait le croire, l'énoncé
a-républicaines qu'il affiche très ouvertement. Il a de si belles fleurs! Au dernier concours horticole, comme on couronnait Gédéon, l'horticulteur,
de la
rien d'exagéré dans cette appréciation, car elles ont continué à
ien élevé. Il est fort comme un Turc, aussi, malgré ses cinquante ans passés. Je l'ai entend
e, je le casserai en de
homme s'es
: sa femme... On prétend qu'il n'a jamais été marié et qu'il vivait en concubinage. ?a m'intrigue fort. J'a
! C'est le bon D
les avoir perdus, j'ai osé demander à Mme Arnal ce que c'était que le concubinage. Elle a commencé une explication vague, s'est troublée et
recueille celui du quartier. Il se promène dans les rues, pendant une petite heure, avec une pelle et une brouette. Quand i
, précédant la brouette, la pelle sur l'épaule, faisant le service d'éclaireur; elle a prévenu mon père qui m'a formellement défendu de continuer à me co
ur de sa brouette et que je cherchais un prétexte pour ne pa
l'a défendu,
, mon
soeur qu'il a un petit mouvement d'épaules accompagné d'un mince sourire railleur--toujours le même--qui en dit long. Il ne doit guère se tromper sur le compte de Louise. Il ne m'en a jamais parlé mal, c'est vrai--il ne cancane pas--
m'intéresse pas. ?a me laisse froid.? Il veut dire: ?Je le savais
ait pas, car il serait plus ouvert, il aurait plus de confiance en moi s'il s'en doutait et nous pourri
ujours son bandeau blanc autour de la tête. Je vais lui demander des nouvelles de sa santé et tacher de
t à Paris, maintena
ais
ue temps, vous y avez été pour
-
c'était un be
s les autres: beaucoup moi
ère fois, vous y ête
e rép
Paris que vous vous ê
es, m'a fait tourner comme un tot
, il ne faut pas venir chez moi. Il faut aller ailleurs. Ou plut?t, il vaut mieux
le berceau, devant une table
moi?... Tu me traites d'espion?... Eh bien! tu peux parler mon bonhomme! Tu p
irai
l'air de vouloir desserrer les dents... Si, il vient de
ps ces cochons-là vont encore nou
C'est tout ce
Merlin, j
tu
nt m'ouvrir. Ce n'est pas malheureux,
d'entendre. Je n'ai pas eu le
ombien de temps ces cochons-là vont enco
. Pion... Pardon, mesdames...
, dit ma soeur en
rable!
pas médire du panache, eh! eh!; il a du bon, eh! eh! eh! La France a gr
hoses pareilles!
miner la ville pour fêter le départ de
. Comment? On parl
n de la rue. M. Beaudrain déclare, peut-être pour calmer un peu M. Pion, toujours furieux contre
Des lampions!
Louis-Philippe au bout des ba?onnettes, les barricades, une femme aux longs cheveux dénoués brandissant une escopette qui avait frappé tout particulièrem
les illuminations, l
uise à mon père, quand nous sommes seuls, il faut
n'y retou
e lui défendre... D'ailleurs, ajoute-t-il, je ne suis pas d'avis de
t nous mener à la victoire, comme disait tout à l'heure M. Pion? Des bêtises! les injures
n'a pas