Bas les coeurs!

e vainqueur de la Chine, qui est le chef du nouveau cabinet. C'est un grand bien, car, ain

is, répète-t-il

est un résolu. Il a dit, en prena

t de mettre cette force immense à même de résister, par le nombre q

j'ai re?ue m'annonce que des dragons prussiens ayant fait une reconnaissance dans un village, des paysans

a applaudi

Après la première bataille, si le sort favorise les armes

noeuvrent autour de Metz, maintenant, sont dans une situation déplorable.

l'armée. Surtout, pas de paix qu'on ne les ait chassés de France! Des coups de fusil, rien de plus! Non, dussent-ils ne rien demander en échange de leur victoire, ni un ruisseau, ni un écu, dussent-ils m

portant maintenant, et veut avoir des idées à lui: il vient d'être nommé lieutenant de la garde nationale. ?à ne fait pas l'affaire de M. Pion qui parvenait toujours

M. Legros. Nous sommes tellement bavards, nous autres, si promp

lle vous serv

Fran?ais en gén

. Il tue, mais il n'insulte pas. Il combat au grand jour, sans emb?ches e

lez pas pour

n général. D'ailleurs, maintenant

de à l'élection. On m'a librement élu, librement, vous entendez?

la hiérarchie militaire et je ne tiens pas, vous comprenez pourquoi, à faire partie d'une milice bourgeo

.. Car vous étiez capitaine

Pion qui rougit, avez-vous déjà fai

, mon

lons ne vou

nous irons au feu! s'

eaudrain i

ù l'ennemi a les yeux sur nous, donner l'exemple de la discord

honteux: les hommes de sa compagnie sont obligés de faire l'exercice avec des batons. Ils ont un fusil à piston pour douze et une ba?onn

ouvernement impérial, f

un département sans défense aux coups de l'ennemi... Avez-vous vu cette invita

iée hier, dit

erait pas mieux d'envoye

armes, ils ne mettraient pas longtemps à les enterrer. Pourvu qu'on ne

s sont bien abattues. Et si deux régiments de Prussiens, seulement, se pr

lève les

n'avez aucune expérience des choses de la

. Quatre uhlans prussiens, le 12 ao?t, à

ce possible? Nancy! capitale de la Lorraine! Une ville de cin

un s

s cit

aient pa

, le maire de Nancy au

demanda M. L

exemple,

précurseurs des catastrophes, se décourage tout à fait. De

plus partout qu'espions prussiens: on jette des pierres dans les fenêtres des maisons occupées par les étrangers. Un sergent de ville, voyant un aveugle marcher lentement en tatant devant lui le terrain a

ieux bonhomme, portant des lunettes bleues, qui descendait du chemin de fer. Comme il demandait son chemin à un coch

t un e

né chez le commissaire. Nous avons attendu plus d'une heure devant le commissariat. A la fin, le vieux bonhomm

de nous voir conserver des doutes sur l'issue de la guerre. Eux, ils n'en conservent pas. Ils sont certains du succès. Bazaine va opérer sa jonction avec Mac-Mahon et leurs deux armées n'en

d le résultat des opérations av

ent guère la défaite. Ils

a fini par

mes arrêtés longuement, dans la galerie des Batailles, devant les to

pins, dans ce temps-là! dit

ins, dit M

rappant le parquet du pied. Il a l'air mécontent. C'est son habitude, quand i

n'y est pas... N'est-ce pas, mo

t à fait,

t! D'habitude, il le réussit bien..

tatues, mon père raconte l'histoire de l'hirondelle trac

ez que, lorsqu'on a vaincu successivement tous les peuples de l'Europe, on peut se laisser flanquer une volée par ces pouilleux de Pruss

vités, tout à c?té, la propriété qui appartient à Bazaine

fran?aise et à la santé de l'Empereur. Au dessert, M. Arnal est u

u Bisma

s de la victoire

les sanglantes ont été livrées aux Prussiens, dans lesquelles nous avons eu l'avantage. Dans la journée du 18, particulièrement, les Prussiens ont subi un échec considérable. Trois divisions allemandes ont été culbutées dans les carrières de Jaumont. J'ai

s débris. Et le ministre de la guerre a annoncé au Corps législatif que le corps en

leurs sympathies pour la France. Le Figaro re?oit de Louvain une let

dit l'auteur de cette lettre

nverrai chaque mois 20 francs, pour secourir les blessés fran?ais. Fil

vous avez encore des couteaux et si cette dernière arme

r de leurs bauges pour souiller le sol sacré de la patrie! O France de 89! les cosaque

prie Dieu chaque soir qu'il inspire aux Prussiens une i

as une syllabe à personne ni de mon

doivent remonter rudement le moral de nos troupes. Pourtant, le 24, on apprend que Bazaine est coupé. Il est vrai qu'on annonce, a

le résultat d'une tactique heureuse. Les Prussiens so

aux simples Prussiens, ce sont des misérables qui meurent de faim; mais la France est toujours charitable: lorsq

s-là ont recours, pour escamoter la

t il para?t même que vingt navires formidablement armés viennent de partir d'Amérique, emportant une quantité considérable de f

entrer, un journal à la main. Son excellence le comte de Pal

?ais a pénétré sur territoire badois;

upéfaction. Ma soeur re

s manquent aujourd'hu

toute la force de no

rance! Vive

part à personne. Les gens sont si dr?les! Ah! ?'aurait été un coup à tenter, pourtant: pen

ait ma soeur

nos oreilles. Ainsi, vous savez que, depuis le commencement de la guerre, beaucoup de soldats sont morts

sures avant leur entrée en

endu; une petite promenade: deux ou trois kilomètres. D'abord sans sac, ensuite avec sac. Les troupiers s'y habitueraient facilement, voyez-vous; ?a leur serait

e pense encore à votre première idée. Il serait

répond M. Pion en

u subitement fou. Il vient d'être reconduit à Berlin par deux officiers généraux. Sa folie a un caractère furieux: c'est le désastre de Jaumont qui en a provoqué la manifestation.

es parents à l'armée viennent de recevoi

pitoyable de l'intendance militaire. Les régiments sont disloqués, bivouaquent au hasard, marchent sans ordre. Le nombreux personnel et

part; et j'ai lu huit fois, au moins, la même phrase: ?Nous avons bien des t

r peut-être, mai

s soldats, appartenant à différentes armes, s'étaient entendus à l'avance avec une cinquantaine de revendeurs. Ils ont brisé ou ouvert près de cent cinquante wagons, ont jeté sur les voies, au risque d'amener d'horribles acci

entimes pièce les draps de l'Empereur, 50 centimes les pains de sucre. Les bagages

cr