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Bas les coeurs!

Bas les coeurs!

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Chapter 1 No.1

Word Count: 2942    |    Released on: 30/11/2017

. La nouvelle en est parvenue

ns tous les jours, de quatre heures et demie à six heures, m'a ap

textes qui peuvent me permettre de ne rien faire, j'

arée! Est-ce qu'on va se

de mes amis, capitaine d'artillerie, que j'ai rencontré en venant ici,

s allons pas

cessaire de franchir ce fl

us envahiro

isque nous avons 18

Waterloo, n'est-ce pas, monsieu

drain en hochant la tête d'un air sombre. Mais donnez-moi do

r... J'ai vu c

es traces. Seulement nous n'aurons pas besoin de perdre trois jours, comme lui, à jeter un pont

éon partant pour Sainte-Hélène et

nt la main droite dans son gilet, la main gauche derrière le do

es de moins et tu serais enc

n'est-ce pas, monsieur, qu

moment, nous n'en sommes qu'à l'histoire grecque... à

ain me l'a rendue dix minutes après avec un trait de

contre-sens. Somme tout, ce n'est pas mal, car le passage n'es

des Commentaires que j'ai achetée dix sous au bouquiniste de la rue Royale. Les jours pairs, je glisse tra?treusement u

re est

r Beaudrain. Eh bi

ent bien content, je lui faisais justement

es de Prussiens commen?aient à nous échauffer les oreilles. ?a ne vaut jamais

de mes amis, capitaine d'artillerie, que j'ai rencontré en venant ici,

les... les... les préparatifs

uvert la porte, un journal déplié à la main, le maréchal Le Boeu

pressées. J'apprenais justement à monsieur votre père, mademoiselle, qu'un de

mon père m'a envoyé cherc

anderas

mandé l

insinue la marchande qui est justement en train de li

non, le

le et me la tend en soupirant.

fend de le lire, à la maison; mais tant pis, je risque u

éplié devant moi, à bras tendus, comme une affiche que je vais coller le long d'un mur. Et, quand je le ferme, à vingt pas de la maison, des phrases dansent encore devant moi, pesantes comme des massues, des lignes longues, droites comme des épées,

ron sonne,--c'est la gue

de la sabretache, qui épient à l'ho

la trouée à la civilisation! A l'humanité!... C'e

te... Et quel est le nouveau Josué qui fera reculer l

s empo

chose, Jean, me dit

tion de de guerre qui le tracas

des réponses moqueuses. Mais, attends un peu, ma belle, dans cinq ou six ans je m'en occuperai, de politique; et tant que je voudrai, encore. Tandis que toi, tu n'es qu'une femme; et les femmes

e de Villeneuve-l'étang où nous avons été lui rendre visite, l'ap

lement, tu oublies une chose: c'est que je

es, car dans deux mois Loui

a guerre

t avouer que j'ai lu le journal qui prédit la victoire, et j'

e, et Mlle Gateclair, leur tante, causent avec mon père et ma soeur. Il

Louise, un massif d'arbres v

é ce matin, répo

t, sa canne sous le bras, son menton dans la main, que penseriez-vous d'u

t gentil,

e, s'écri

as, on pourrait égayer un peu la fa?ade en pla?ant, par exemple, à droite une boule ro

ant! Ch

uis un mois, chaque fois que nous venons chez Jules, c'est pour dresser des plans dont l'exécution doit révolutionner sa propriété. Il n'est question que de changement

les fleurs avec m

Il fait enco

nnes. Elles vont certainement parler de la guerre, des Prussi

m'intéresser aux fleurs, aux arbustes. Rien; ils n'ont parlé de rien; ?a a

, quand mon père se

aille de Thiers qui ne trouvait

lui, répond Jules. Déci

n dr?le d

e de mépris pendant que

ivement Jules tout rougissant, j

e moi, dit M

ure de plus pour aider Léon à arroser les f

ules t'a parlé

Ou

-ce qu'i

tait bien

te t'en a-t

Ou

ce qu'ell

ait bien m

qu'ils ne s'occupe

isins font invasion chez nous. M. Pion, d'abor

Barbier? ?a finit-il par la guerre, ou

oute, en retir

vainqueurs à Sadowa, qu'ils allaient nous avaler d'u

?té de ma soeur,

n mon mari, les Prussiens n'avaient aucun mérite à vaincre: ils ava

, l'épicier, qui entr

égislatif? Il lui a dit: ?Vous êtes la trompette des désastres de la France

éro du Pays qu'il tire de sa poche: le baillon à la bouche et les menottes au poignet. Si j'étais q

? On crie: ?A Berlin! à Berlin!...? Près de la gare, je vois un rassemblement. J'approche. Savez-vous ce que c'était? Un médaillé de Sainte-Hé

te en minute. Il est près de déborder. Je voudrais être assez grand pour cr

le sang à la tête, les oreilles qui tintent, il me semble percevoir le bruit du canon et des cymbales, de la f

ndance n'a été organisé comme il l'est, nos arsenaux regorgent d'approvisionnements de tout genre;

M. Legros, nous avo

s'écrient Mme Ar

précipitent

n prie. Je suis tellement énervée! Tout ce qui touche à l'armée, à la guerre, voyez-vous, ?a

mpereur! c

t et revient au bout de cinq minutes avec un grand

ce que c'

va donc dire à Catherine de tend

eusement. C'est la lanterne m

je tout bas à Léon

ne fait rien. Pendant qu'il f

ce-la

s représentant l'histoire du Chaperon Rouge ou du Chat Botté qu'il glisse dans la lanterne; ceux qu'il a choisis peignent en couleurs vives les ép

les lignards à l'allure ferme et les lourds grenadiers; pour les chasseurs à pied, le verre va un peu plus vite: du pas gymnastique. Quand nous arrivons aux escarmouches, aux combats précurseurs des grandes rencontres, le verre prend une allure fantaisiste, il court avec les bersagliers, rampe avec les highlanders et bondit avec les zouaves. Pour les batailles, c'est terrible. C'est à peine si, dans le va-et

nages tout au plus: des turcos hideusement noirs et des zouaves effrayants, aux longues moust

mards! crie M. Legros. Et il fau

per?ois dans l'obscurité la longue silhouette tendant le poing vers

au-là n'a pas besoin d'être agité comme les autres, que tous les artifices sont inutiles cette fois-ci. Il est

épouva

s brigands de Prussiens, si l'on pou

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