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Le mort vivant

Chapter 4 UN MAGISTRAT DANS UN FOURGON à BAGAGES

Word Count: 1398    |    Released on: 06/12/2017

ées, d'une chute de cheval; tout porte à croire, d'ailleurs, qu'il doit avoir été remplacé depuis lors), un collège, un assortiment con

le bon vieillard s'était endormi presque depuis Southampton. Son ame, quittant le coupé du wagon, s'était provisoirement envolée dans un ciel tout rempli de populeuses salles de conférences, avec des discours se

ernière vitesse, une invasion sauvage du guichet aux billets, et puis encore une course folle leur avaient permis d'atteindre le quai à l'instant même où la machine émettait les premiers ronflement

crié. L'oncle Joseph! P

resque son compagnon, et s'était empressé de

compagnons se trouvaient insta

e? demanda le plus jeune voyageur, tout en essuyant la sueur de

mon oncle Joseph! Un vieux gentleman des plus respectables: a été intéressé dans le commerce des cuirs; a fait un voyage en

neur, hein? su

yable! Je ne dis pas que, sur une ?le déserte, on ne finirait pas par s'accommoder de sa société; mais pour un voyage en chemin de fer, non, il n'y a p

ussi, dans cette histoire de la tontine Finsbury, dont l

mille livres? Ou, du moins, ce serait sa mort qui me les vaudrait! Et il était là, endormi, sans personne qu

ouver dans un fourgon à bagages, sautillait

hn Street, Bloomsbury, Londres. Ce M., c'est évidemment Michel, pas de d

est un cousin à moi, et que je ne déteste pas, car il a affreusement peur de moi. C'est lui qui habite Bloomsbury; et je sais qu'il y fait une

ait plus. Une idée magnifi

ent, avec le marteau et les tenailles que j'aper?ois là-bas, je pouvais ch

ayant entendu la voix de Michel Finsbur

dit-il aux deux voyageurs, lorsque ceux-ci l

Wickham? de

ement, à voyager dans un fou

et la porte de communication ayant été refermée, M. Wickham r

eure plus tard, le train siffla et commen?a à ralentir sa marche.-On va s'arrêter t

resser à Michel Finsbury, et, en effet, l'avoué, dès qu'il avait été mis au courant des faits, avait immédiatement assumé l'offensive, avait foncé sur le flanc des forces valaques, et, dans l'espace de trois jours, avait eu la satisfaction de contraindre celles-ci à repasser le Danube. Ce n'est point affaire à nous de les suivre dans cette retraite, effectuée sous la paternelle présidence de la police. Bornons-nous à ajouter que, ainsi délivré de ce qu'il se plaisait à appeler ?l'atrocité bulgare?

instruments même les plus humbles: le fait est que le sceptique le plus endurci sera désormais forcé de reconna?tr

natal) n'avait pas été plus t?t seul dans le fourgon qu'il s'était abattu sur les étiquettes des colis, avec tout le zèle d'un réformateur. Et lorsque, à la station de Bisho

e admirable! ne put-il s'em

tout à coup

inoffensive, hein? je ne risque p

Michel, je vous ai toujours prédit q

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