Clotilde
er toute la pompe désirable. Après le d?ner, auquel avait été invité le curé, tous les domestiques parurent avec des bouquets. Madame de Sommery la première embrassa son mari en lui do
u es le troisième... Viens, ma charmante Clotilde.-Oh! monsieur, oh!... m
de Sommery ne pouvait jouer aux
t assez adroite pour choisir Voltaire, quand même M. de S
sa voix ne pr?t des inflexions trop vraies. Mais bient?t elle pensa qu'il ne fallait pas hésiter; que cette soirée devait être terminée par une scène d'où dépendait sa vie; qu'elle allait jouer
qu'elle soup?onne sa passion p
ez trahir
ng toute la
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te où vos sens
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u'Arthur et son père, saisis par le ridicule de la baronne, se fissent d'avance
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ins vous daig
rs M. de Sommery. Avec quelle touch
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; aussi se laissa-t-elle prendre elle-même à ce qu'elle lisait, et elle
ais soyez d
e: elle vous
nologue du comte, ces vers, qui lui semblaient un
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ame a mon pr
nvenable et avec une excessive froideur, pour donner
... Elle est
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enfin l'épouser?
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e scène, quand le
este en des m
eux, d'embrasser
endre de l'émotion générale, et ce fut avec un
ugés. Alida s'esquiva et alla se coucher. Arthur et Clotilde écoutèrent religieusement M. de Sommery, car il ne disait pas un mot qui ne f?t pour eux une prome
son père, et lui dit: ?Mon père, j'aime Clotilde.-Parbleu! dit M. de Sommery,
uences tant qu'il ne s'est agi que de parler, conséquences qui se présentent en foule aussit?t qu'il faut agir. Arthur ajouta: ?Mon père, je l'aime d'amour, et je vous la demande pour femme.
er. Elle se leva, fit une révérence et se retira. Elle eut soin de faire entendre les portes qu'il fallait ouvrir e