Cara
ite à Cara; après la première il en fit un
el elle se trouvait; cette chute lui avait réellement causé
-même? il avait plaisir à la voir; elle ressemblait s
e, avec malice sans méchanceté, délicate dans ses go?ts, distinguée dans ses manières, c'était, à ses yeux, une vraie femme du monde avec laquelle on aurait la liberté de tout dire et de tout risquer, à la seule condition d'y
rième à cinq heures, et, après deux heures de conversation qui avaient passé sans qu'il e?t conscience du temps, il était resté à d?ner avec elle, sans fa?on, en ami, pour continuer leur entretien, et ce j
ancoliquement, ne s'intéressant à rien, et portant partout
vait de l'entrain, de la bonne humeur; voilà que pour la premièr
opéré ce
a
si longues, si pénibles, qu'il avait vraiment peur d'en reprendre le cours, ce qui arriverait infail
amais? De même, cette situation serait toute différente, si elle l'avait aimé, comme elle le serait aussi s'il lui avait avoué son amour et si tous deux avaient échangé un engagement, une promesse, ou tout simplement une espérance. Mais non, les choses entre eux ne s'étaient point passées de cette manière; il n'y avait eu rien de précis; et il était très-possible que Madeleine ne
de la rue de Rivoli. Paris endormi était désert, et de loin en loin seulement on rencontrait deux sergents de ville qui f
ais en prenant par la colonnade du Louvre et par les quais; il a
uisante que f?t Cara, ce n'était pas une femme qui pouvait prendre une trop grande place dans sa vie;-malgré
vec ces yeux profonds qu'il ne pouvait plus oubli
uillard de la rivière qui le pénétraient, une bouffée de
du Palais-Bourbon, et dans les tilleuls de la terrasse du bord de l'eau on entendait des petits cris d'oise
ture et se fit conduire au bois de Boulogne en disant au
il se fit ramener à Par
e fit aucune difficulté pour aller la réveiller et lui di
son entrée Cara le rejoignai
e d'une vois tremblante
montra un vi
pieds, ne comprenant rien au désordre de sa toil
vous donc? d
ulogne, où j'a
mon
men de conscience,-de la mienne, que j'ai fait s
rassurez p
en que je viens vous communiquer
ain, il la fit asseoir
timent qui a pris naissance dans mon coeur. Avant de m'abandonner à ce sentiment, j'ai voulu sonder sa profondeur et éprouver quelle était sa solidité; voilà pourquoi j'ai pas
a porta à son coeur comme si elle venait d'y ressentir une douleur;
, et n'être que Hortense; mais, hélas! il para?t que cela était impossible, même
e vous
laissa pa
s êtes trop galant homme pour tenir un pareil langage; vous m'avez parlé d'un sentiment né dans votre coeur, et vous m'avez dit que vous m'aimiez. Je suis touchée de vos paroles; mais, pour être franche,
ent avec cette expression de trist
. D'autres na?tront-ils plus tard? Je ne sais: cela est possible puisque mon coeur est libre, et que de tous les hommes que je connais vous êtes celui vers qui je me sens la plus tendrement attirée. Mais l'heure n'a pas sonné de mettre ma main dans la v?tre, et j'espère que vous m'estimez trop pour
ant pour lui tend
te: faites