Cara

jet de conversation dans un certain monde, et même sans que quelques journaux, qui ont

fils du bijoutier de la rue Royale?-Lui-même.) était l'amant de Cara (-Celle qui a été la ma?tresse d

tait

i apprit la liaison de Cara et de Léon fut celle qui avait

ou des courtisanes?. Bel homme et gaté en sa jeunesse par des succès qui s'étaient continués jusque dans son age m?r, il n'avait jama

était fondé, et comme il lui était difficile d'interroger celui qui pouvait lui faire la réponse la plus préc

et dont rien plus tard ne le faisait démordre, pas plus l'éloge que le blame. Dans tous les bureaux de location des théatres de Paris, son nom était inscrit pour qu'on lui réserva un fauteuil d'orchestre aux premières représentations, et pour savoir s'il devait rire, pleurer ou applaudir, il n'attendait pas que le visage des critiques influents, en ce jour-là sérieux et réservés comme des augures qui croient à leur sacerdoce, lui e?t révélé leurs sentiments. Avant que le Salon de peinture s'ouvrit, il connaissait les oeuvres principales qui devaient y figurer; il avait été les voir dans les ateliers, il avait causé avec les artistes, et pour elles aussi, il ne recevait pas son opinion toute faite des journaux ou des gens du métier. Toutes les fois qu'une

e Cara, dont M. Haupois avait entendu parler plusieurs fois sans jamais s'in

it répondre s'il le voulait, car le nom de Cara l

st la ma?tresse de Lé

mais je n'

uriale à mon fils en m'apprenant ce que vous savez. à vrai dire,

vra

ma?tresses où il voudrait, devenir l'amant d'une lorette, d'une courtisane à la mode; oui, très-certainement cela me blesse; mais enfin, d'un autr

choses à votre point de vue, et je ne peux

la con

ain point effrayé de penser que Léon va subir son influence. N'oubliez pas commen

a été aussi bien élev

ire ces journaux ou ces romans qui ont la prétention d'être l'expression du high-life parisien. Il ne vous faisait point part de ses idées, bien entendu, mais avec moi il regimbait quand je me moquais de lui, et j'ai pu juger alors combien était vive sa curiosité de savoir quelle était cette existence qui l

isiez que je vous parle d'elle, ou tout au moin

stament il laisse une partie de ce qui restait de sa fortune à sa ma?tresse. Le testament est attaqué pour captation, et c'est Nicolas qui plaide contre Cara. Vous savez quelle est la manière de plaider de Nicolas, quel est son système de personnalités et d'injures; il a formé son dossier avec des notes qui lui ont été fournies par la préfecture de police, il lit ces notes et montre ce qu'a été Cara depuis l'age de treize ans, c'est-à-dire depuis son arrivée à Paris. Jamais réquisitoire n'a été plus écrasant, et ce qui lui donne un caractère de cruauté réelle, c'est la présence de Cara à l'audience. Quand Nicolas se tait, elle se lève et s'avance à la barre dans sa toilette de deuil de veuve, simple, chaste cependant élégante. Elle demande à donner quelques explication et prend la parole: ?Tout ce qu'on vient de dire de moi est vrai, au moins pour

n; depuis quelques instants déjà, il avait perdu le sourire de c

ons, Cara l'a demandée au monde commercial et financier. Après l'expérience du duc de Carami, qui avait mal fini, elle s'est adressée aux fils de famille de la haute banque et du haut commerce, trouvant là des avantages moins brillants peut-êtr

le doit ê

derniers temps par un aventurier qu'elle voulait é

s me dites-là es

de Madeleine; il y a des remèdes gui sont pires que le mal; et cette chère Madel

i; et, s'il le faut, je lui parlerai. En tout cas, il y a un moyen d'empêcher les choses d'aller trop lo

ous le savez comme moi, ne lui sera pas bien diffic

dément je par