Cara

as assez franche pour qu'il l'affrontat volontiers, sans raisons décisives sur lesquelles i

il n'était pas de sa dignité de père de famille d'intervenir dans une amourette. Lorsqu'il avait été question d'un sentiment sérieux, il n'avait pas hésité à agir: bien que cela par?t peu probable, ce sentiment pouvait redevenir mena?ant, et il paraissait sage de garder intacte l'autorité paternelle pou

ntait en faute vis-à-vis de ses parents, mais ce qu'on attendait

affection, tandis que, par le seul fait de sa position auprès de Cara, il était obligé d

t avait été nettemen

onsidère comme un prêt que prochainement je pourrai te rembourser. J'ai des valeurs dont la négociation est en ce moment difficile, mais qui à un moment donné redeviendront ce qu'elles sont en réalité, excellentes; je te les montrerai et tu verras que je ne me trom

enda

faudra que tu renonces à cette joie, et j'aurai le chagrin de t'en priver. C'est là une fatalité de ma position. N'oublie pas que je suis Cara. N'oublie pas la réputation qui m'a

je sais qu'elle

l puisse s'élever l'ombre même d'un soup?on, et ce soup?on pourrait na?tre si tu n'avais pas la preuve que je ne suis pas une femme d'argent. Quelle meilleure preuve que c

ins poi

ton esprit: c'est que, si j'avais été une femme avide, si j'avais été inspirée par l'intérêt dans

regardé à la dérobée, ma

ué de fa?on à préciser

uis il conna?t le prix de l'argent; c'est un commer?ant, et il ne laisserait assurément pas écorner un morceau de cette fortune sans s'en apercevoir, et sans pousser des cris de chat qu'on écorche tout vivant. D'autre part, elle n'est pas à toi cette fortune, elle est à ton père, à

eux tu

resse, ton amour, ton amitié, ton estime, tout ce que le coeur, mais le coeur seul, peut donner. Et, de ce c?té, tu verras que je te demanderai beaucoup. Ainsi laisse-moi te faire un reproche à ce sujet: depuis que nous nous aimons, c'est à peine si tu as d?né ici cinq ou six fois. ?a n'était pas là ce que j'avais espéré et l

s fai

s les soirs? Comprends donc que je suis affamée de joies que je ne connais pas: celles de l'intérieur, du tête-à-tête, du ménage. Révèle-les moi ces joies, fais-les moi go?ter, que je te doive ce bonheur! As-tu peur de t'ennuyer près de moi? Non, n'est-ce pas? Eh bien, restons ensemble le plus que nous pourrons, toujo

rêvée, si souvent désirée en ses heures d'isolement; aussi ce la

emme, je l'espère, à te faire manquer ta vie, pour la satisfaction de notre bonheur. Mais justement tu es m

nnaissait déjà assez Léon pour savoir qu

'est que ce que tu désir

n appelle une femme honnête ou si tout simplement j'étais ta femme, je serais moins exigeante, mais je suis Cara, et tu sens bien, n'est-ce pas que c'est par la tendresse, par les soin

ci qu'il avait été entra?né. Comment rester à sa ?boutique? quand il était attendu? Com

plu, ?'avait

ux que lui plaire, il voulait ê

ire, ce choix le flat

t si souvent, d'être aimé par une de ces femme

elle voulait êt

n'est pas seulement de tendresse ou de désir qu'est fait l'amour et

ans les folies ou les hontes de la passion

és, déshonorés, non par l'am

de, c'est presque un titre de noblesse. On était