Belle-Rose
et repoussa la porte au nez de M. Mériset, qui s
ête propriétaire en rentrant dans
une furieuse envie de lui adresser une question, la seule qui t?nt à son coeur, une question qu
éjà venue? dit
jours. Mais depuis lors il m'a
issais-tu
ut embarrass
ais pas, repr
pour
tu serais v
baissa les yeux, Clau
arrivée seule à
secoua
le-Rose. J'y suis, et sans to
son mari, qu'une affaire importante appelait à Paris, elle m'a suppli
e! s'écria
souffre. M. d'Albergotti l'ignore. Quand il est
cha sa tête d
malade... Oh! elle est sauvée, reprit Claudine en voyant le
'irai la voir,
pas, ta prése
ria Belle-Rose avec cet accent pro
s si triste et si désolée? Ton nom n'est pas sur ses
parlé. Quel bonheur cet amour ravivé pouvait-il entra?ner après lui? Tirant son mouchoir de sa poche, elle
chagrin, qui se donne de son c?té assez de peine pour venir jusqu'à nous. Laissons là cette conversation qui me rougirait les y
le long de la rue du Bac et des quais, nous ne répondrions pas que Belle-Rose n'e?t prononcé deux ou trois fois le nom de Suz
nda Belle-Rose à sa soeur e
i de ma journée tout entière. A onze he
j'y ser
dans sa main. Son premier soin, aussit?t après être rentré chez le digne M.
oleil, à la porte Gaillon, une personne qui lui dira les paroles convenue
donnerait le jour; aux affaires de M. d'Assonville, le soir. Belle-Rose fut exact au rendez-vous; sa soeur et lui montèrent en fiacre et prirent le chemin de Neuilly. Après avoir vainement cherché un g?te aux Porcherons, qu'une compagnie de mousquetaires
sir, Belle-Ro
demanda Claudine à son f
ebrais, mon
y avait au bout d'une prairie une maison devant laquelle de beaux arbres étendaient leur ombre; cette maison avait l'apparence d'une
tendit des cris d'effroi auxquels son nom était mêlé; il pressa le pas, et vit Claud
er, tu m'aideras à faire comprendre à cette
e, que déjà Belle-Rose, arrachant Claudi
is, dit-il, cette bel
nneur, c'est charmant!
le-
lieut
avec sa soeur! J'ai une soeur aus
ais, je vous ai dit
... C'est un joli nom, tout à fait dans le go?t pastoral. Dites donc, ma charmante,
déjeuné, et qui, tout débraillé, laissait voir une chemise tachée de vin. Se tournant donc vers le cocher, qui regardait philosophi
i dit-il, et quand tu auras fi
mpter. Il n'était pas au troisième écu qu'il sifflait de toutes ses forces.
sois pas moins aimable que lui, mon ami; ta ma?tresse est jolie, elle me pla?t;
ur ses jambes, la voix était nette et claire, le geste aisé; le sergent n'avait donc pa
urne les talons, cours aux Porcherons, demande le cabaret
enant, je
eux r
O
e, oublies-t
je voudrais v
aisant. Je te coup
en cro
le bras, Belle-Rose
is, qui, perdant toute retenue, fit un effort pour dégager sa main et prendre l'épée; mais Belle-Rose l
ait plus, mais il
vous n'arriverez à ma soeur qu'après m'avo
a-t-il, il y a dix louis pour toi si tu aides cette adorable personne à monter en fiacre, et di
mais elle chancela e
her en serrant la bours
s de là; et au même instant u
dans sa taille. Son costume, sans broderie et sans ruban, lui donnait l'
it M. de Villebrais, et
mêle des affaires des autres quand il
ention inattendue du cavalier, s'avan?a vers Claudine. Il n'avait p
ns; moi, je te promets cent coups de baton si tu ne la conduis pas à la métairie que voilà; mais je
pas d'objection à faire à un homme si plein d'éloquence et de vigueur. Une nouvelle conviction venait de pénétrer dans son esp
la main à Claudine, entrez; je vous réponds des bons
épondit l'autre, qui se frottait l
laudine s'assit dans le fiacre, M. de Villebrais sentit se rallumer toute sa colère. Il fondit sur Belle-Rose l'épée à la main, et lui porta un coup si furieux, qu'il l'aurait transpercé d'outre en outre,
étranger, tandis que le cocher poussait les chevaux dans
rais palit à
d'une voix étranglée par la fure
lle-Rose; et d'un bond il tomba e
à la garde de son épée, je consentirais bien à vous faire l'honneur de me mesurer
avec un man
udra cepe
? dit M. de Villebr
us frapper sur la joue du pla
se mordit les lèv
l se f?t agi d'un souper, quand on passe du rapt au meurtre avec une si surprenante facili
inspiraient à M. de Villebrais les paroles dont son orei
battrai avec ce manant, et
, s'il est
éjà le terrain du pied, l
ne nouvelle. Ce n'est point ici un lieu commode pour se battre. On court le risque d'être dérangé, ce qui est toujours facheu
pliqua M. d
se battait en homme qui veut tuer et ne négligeait aucune des ressources de l'escrime. Mais il avait affaire à un homme au
regrettez tout ceci, et je n'
arer, mais M. de Villebrais le poussait si rudement qu'il dut se résoudre à rendre coup pour coup. Le froissement du fer l'anima, et une botte qui vint l'égratigner acheva de lui faire perdre tout ménagement. Deux minutes après, son épé
sieur, dit-il à Belle-Rose; commencez pa
nant! répondit Belle-Rose
l y va pour vous de la fusil
ma s
n ré
me le
à ma
gens se rencontrèrent dans
l'étranger, et
otre nom, je vous prie, afin que je sach
Hoghart, et suis du co
est Jacques Grinedal, autrement dit Belle-Ro
avez un ami. Les honnêtes
exigeait qu'il s'éloignat en toute hate avant que le bruit de son duel se f?t répandu. Mais M. d'Assonville avait sa parole. Belle-Rose se rendit tout droit à la porte Gaillon. Il s'y promenait à peine depuis cinq minutes, qu'il vit arriver un petit jeune homme enveloppé d'u
is, répondi
cou par une cha?ne d'argent. A ce signal, un carrosse arriva au carrefour où le page s'était arrêté; il s'elan?