Au Maroc
av
ve la porte de ma tente pour regarder au dehors. Et cette première appari
es qu'on dirait des plaques de neige; tout cela humide de pluie ou de rosée; dans les lointains, ce vert intense s'assombrit sous les nuées lourdes qui tra?nent; il tourne au gris d'ombre
ouge, forment des taches de couleur éclatante sur ces fonds de teintes neutres, sur ces derniers plans d'un gris violacé d'encre. Immobiles, elles ont l'air d'avoir été préparées là et d'attendre, pour quelque défilé de féerie sa
sont plus nombreuses, ce matin: des vieilles, des jeunes, toute la famille du captif sans doute, et de pauvres petits bébés, encapuchonnés à la bédouin, qui dorment transi
?d, prend dans ses mains le pan de mon manteau et l'embrasse. De cet instant, je me se
l, triste et mystérieux!... Sur ces lointain