La chasse aux lions
sa cousine germaine, sa fille, ou sa nièce, enfin une de la famille. Elle était grande, mince, allongée, à peu près comme la fille a?née de M. le marquis d'
Elle avait un nez carré par le bout comme tous ceux de la famille, des yeux méchants comme ceux de la mère Cascarou, de Béziers, l'aubergiste, qui donne quatre-vingt-quinze soufflets par an à ses
toutes les méchantes bêtes de la création: c'est la rue de la colère. Quand une dame vous reg
est encore pire
romper, le lion nous chassait comme nous chassions le lion. La différence, c'est qu'il avait des dents et des griffes toujours prêtes à travailler, et que nous n'avions, nous, que des fusil
ur le dos, les quatre pattes en l'air et ne bougeant pas plu
'il était mort ou faisait semblant, vit qu'il ne disait rien, poussa un grognement terrible, l
?ut. Nous la regardions faire
s à P
on fusil, elle v
ger! av
cartouche,
me rép
le buisson pour l'avoir à portée
tait tombée dans le fossé, pendant que je grimpais sur le rocher
qui pourtant n'avait
crane. Il y en a là autant que de charan?ons dans un grenier à blé
de leur demander: ?êtes-vous là??
man
n a
Toi, monte dans l'arbre, fais-en autant pour le tien quand tu seras monté, et alors tu m'aideras
ttaque pendant qu
répo
donc, b
t que je grimpais: le pied droit en arrière, le pied gauche en avant,
sur lui. J'étais à peine debout sur une des grosses b
lle lui avait attrapé le nez, c'était fait de lui. Jamais plus il n'aurait pu se moucher sur la terre! à peine
ou! un bleu et lui, ?a
fusil contre le tronc du chêne, de sorte qu'il ne risquait pas de tomber. De la pointe de son outil il lui piqua le mufle, et si fo
lionne. Pitou est un bon enfant qui ne veut pas de mal à personne et qui rirait volontiers un brin avec les amis; mais là il ne s'agissait pas de
e, les lions, les sangliers, les tigres, les hippopotames et les bombes! Avec sa ba?onnette, il fait tout ce qu'il veut; s