La chasse aux lions
e plus beau régiment de France,-celui que le vieux Bugeaud, qui s'y
avez p
ès mon arrivée au corps. ?a me co?ta deux litres de la mère Mouilletrou, la cantinière, femme cupide, qui vendait neuf sous son vin qu'elle achetait
la science, ?a ne peut j
stolet sur notre carré sans viser, faisait demi-tour et se sauvait à un quart de lieue, de peur d'être embroché par nos ba?onnettes. Nous, sur trois rangs, sans nous inquiéter de rien, le premier faisa
allèrent plus vite qu'ils n'étaient venus. On prit leurs tentes, leurs bagages et le parapluie du fils de l'empereur du Maroc. On l'a montré aux Parisiens, et on l'appelait paras
ions, inquiets de ce qu'il allait dire, ?... je suis tout à fait content de vous. Je vous ai regardés opérer, pas un n'a bronché. C'est plaisir de conduire des gaillards de cette espèce. Vos anciens de l'armée d'égypte n'on
e de vin, l'éleva en l'a
es, à la santé du brave 7e lége
nous en est resté. Tachez de
ne Chambard, est-
iant qui faisait plaisir à voir; bon enfant tout à fait, pas punisseur du tout, pas assez même au commencement, parce qu'il faut se faire craindre des mauvais sujets et des coureurs de bordées,
sous-lieutenant, et qui sera général quand il voudra,
our d'Isly-tout à fait au coin,
sins le regardaient en riant un peu. Ils avaient l'air de penser: ?Comment ce blanc-bec va-t-il se tirer de là?? Lui riait aussi d
une dizaine d'officiers. C'ét
en qu'il n'y a que l'eau du ciel ou de la rivière qui ne co?te rien... Mais n'importe, je vais vous envoyer de quoi boire un bon coup à la santé de la France.? Ce qu'il fit tout de suite. Comme il avait été simple soldat, il savait mieux que personne de quoi les soldats ont besoin en campagne. Il nous dit même en se moquant de nous: ?De mon temps, on n'était pas si difficile. En Espagne, j'ai passé trois semaines sans go?ter ni pain ni viande et, malgré tout, i
ria: ?Bravo! Bra
sous-lieutenant qui se tenait debout
le capitain
jambe cassée d'une balle a
e lieu
?de il y a cinq jours. On
iciers, dit le maréchal... Alors, c
s voyez, mo
us vous
ham
êtes bi
on mieux, dit Chambard. D'ailleurs, m
tre. Je vous regarderai. On fait bien
i, surtout quand, la cavalerie marocaine se sauvant, on se forma en colo
tendant le brevet du ministère de la guerre. Enfin nous f?mes tous très contents,
chemin. On l'a ramené de Sébastopol capitai
, les arbres et les poissons, qui parle arabe comme un Arbi
ort que ?a, Pitou, tu me fe
nais pas.? r