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La chasse aux lions

Chapter 6 PITOU ET DUMANET DéLIBèRENT

Word Count: 2888    |    Released on: 04/12/2017

e que je ne pouvais pas deviner, comme qui dirait d'une envie de pleurer et d'une envie de rire, d'une env

est-

oigt quelque chose

L

a pour mieux v

pos

s s?r,? d

u re

donc, D

gardais la montagne pour voi

je baissai la tête à m

e que ?a,

veux que ce soit, si ce n

leva les mains

bien: il a p

demand

on pauv

crottin d'ane. Il y a plus d'un ane à la foire qui s'appelle Martin: il y a plus d'un ane aussi

iand qui ne mange que des chardons: il n'a jamais voulu go

l'inte

'y en a pas d'autre dans la nature pour s'arrêter comme l

tin de son ane que sa figure s'en élargissait comme une pleine l

attes, dont la plus petite est large comme le fond d'une assiette?

r à la promenade, après d?ner, écartant les jambes

'Ibrahim, que le lion avait d? digérer, et je fis signe à Pit

e), et qui ressemble plut?t à un bloc de pierre de taille qu'à celui que les bourgeois de Paris appellent un Apollon du Belvéd

nous le tenons: il n'y

. Je vous l'ai dit, il n'y a pas, il n'y a pas, il n'y a pas pareil à Pit

him s'arrê

est

u doigt le hau

seigneur! Mais s'i

épli

mait pas, c'est moi qui le

se rien dit de lui, fit: ?Oh!? c

e repris

est-ce que Pitou lave la vaisselle à la cuisine pendant que Dumanet fait le beau

s compris qu'il n'était pas con

, va toujours. Tu disais donc que le

répondit

e dort pas, qu'es

im ré

d?

and il

ivière, et il revie

lement Pitou, allons l

secoua

x pas? con

N

ons tous les deux

be re

ais vous ne r

urq

, que le seigneur l

ot, Pi

s s

la pour mie

pris la

en son

, la mère lionne et d

attendions le capitaine Chambard et

était beaucoup pour une fois. Mais, comme dit le pè

épon

ousins, et s'ils venaient tous en procession sur cette route, Dumanet fils les attendrait ba?onnette en main et leur ferait voir ce que c'est qu'un fusilier du 7e léger. On est

itou ré

que je voudrais penser subséquemment quand tu as pensé p

e premier, il obtempérait subséquemment; si j'avais parlé le second, il

dis e

, tu n'as pas

iqua bo

u'est-ce que tu ve

e croyais que ?a le rendait malheure

rien, je t'aime b

Pitou

ir de l'esprit? Est-ce que ?a tient chaud quand on a froid? est-ce que ?a d

Pito

petite Jeanne, qui m'a promis de venir avec moi devant le maire et l

Pito

ergent Lenglumé, qui pourrait gagner sa vie à vendre des calembours dans les foires (trois

épon

n'est pas commode, lui a envoyé une gifle de première grandeur, et le lendemain lui a fait un trou de deux pouces de profondeur dans la cuisse droite. Il en a eu pour six semaines à

les cheveux et de me chatouiller l'amour-propre. Tu veux aller à la chasse au lion, j'y vas; la lionne y sera, moi aussi, les petits aussi. ?a ne fait r

nt de réflexi

i non

s bien sincèremen

oi, P

fit rire e

equel nous nous étions arrêtés la veille. On voyait de là une grande

oup, Pit

é Ibrahim? je n

l'Arabe av

es une puissante voix d'ane qu

hi han!

t cette belle m

d'Ibrahim n'es

bable et même conséquent! sans quoi i

Pitou

c'est que le l

quoi

fusil, qui ne manque jamais son coup à la cible.

d?mes enco

hi han!

mps suivit le rugissement du lion. Alors les deux bourricots ne dirent plus rien: muets comme des carpes au fond de l'eau. Je vis re

ilà! le

demanda

épondre, nous fit signe de la main qu'on le suivait et se hata de grim

li, le lion, la lio

portait les deux lionceaux dans deux paniers placés des deux c?tés du bat, et la lionne en arrière-garde, qui veillait sur ses petits et qui empêchait Ali de se s

a à braire d'un ton lamentable, comme s'il avait voulu dire: ?Pauvre ami, tu es bien avant dans la p

s bien, c'est Pitou et Dumanet, deux bons gar?ons; mais s'ils ne le t

e dis

voilà le gibier. Qui est-c

e rét

'à six pas: quand on n'a pas le temps de r

n peu loin j'avais la chance de crever un ?il au lion ou de lui casser une patte et de le

gissement. ?a, c'était pour nous effrayer. Pi

t convenu, t

comm

trop; mais enfin j'étais bien disposé, ?a devait suffire. D'ailleurs, Pitou était là en réserve; et qua

fort que le premier. Puis il s'avan?a lentement sur nous. La lionne, le bourricot et les lionceaux le suivaient à quelque distance. Quand

re mal aux oreilles. Cependant, pour en finir, plut?t que

premier coup. Il s'enleva dans l'air à plus de six pieds de haut et retomba à terre, t

, qui n'attrapa que le pied. Ah! mille millions de mitrailles! quel cri! on aurait dit trois cents douzaines de chats en fu

sait son fusil dans la direction du lion, qui n'était qu'à trois pas et ne pouva

e on grimpe dans des moments pareils! les écureuils, voyez-vous, ne vont pas plus

itou ne perde

ote. C'est ce gueux de lion qui, malgré sa patte cassée, avait eu la force de sauter sur moi et qui m'avait attrapé avec les dents. Par bonheur, il croyait tenir ma

uivre et m'entra?ner avec elle. Vous voyez comme nous étions tous les quatre: j'étais accroché au chêne sur le

-et tombe raide mort sur le chemin, les quatre pattes en l'air. Comme il prêtait le flanc à Pitou, la balle l'avait frappé au c?ur. ?a, c'est

et regarder, et je criai

jamais eu et tu n'aur

i me ré

l'accorde conséquemment, mais il y en a de

r l'embrasser, quand i

rive au trot avec les petits. Arme ton pistole

onne qui venait su

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