La Maison de l'Ogre
men
enaire de 1789 que v
ses folies. Vous mentez, et je vais le prouver, non aux soi-disant républicains, qui le savent aussi bien que moi, mais aux na?fs, aux crédules, aux ignor
la conscience de toujours surpasser ou plut?t qu'il absorbait comme des rayons à ajouter à son soleil, auquel ils appartenaient;-en dehors de cela, il ?aimait la guerre?, comme il se le reprocha en mourant;-amour singulier pour la guerre, dont il n'avait ni la s
e, et le sang et l'argent de ces hommes tout lui appa
ns en espèces;-dans son règne il avait dépensé dix-huit milliards.-Il laissa la France endettée de quatre milliards cinq cents millions; ajoutez le scandale
ran?ais ne
graduellement jusqu'à la crapule.-La France subit de grandes humiliations en rendant toutes ses conquêtes par le second traité de paix d'
ran?ais ne
des réprimandes furent simpl
délivre les prisonniers de la Bastille,-rappelle les parlements, met au ministère les hommes que lui désigne l'opinion publique-entre autres deux hommes éminents par la science, par l'honnêteté, par les m?urs, par le caractère: Malesherbes et Turgot;-crée la Caisse d'escompte. La France se trouvait en face d'un déficit qui datait des règnes précédents et s'éleva
ncent à leurs droits et privilèges-et Louis XVI est déclar
au delà de ce qu'on avait pu espérer, même désirer: c'était l'entrée dans une ère nouvelle-d'égalité, de liberté, d'amour du peuple,-d'économie, de prospérité. L
tra contre un roi honnête, vertueux, ami du peuple-qui avait eu l'imprudence de dire, un jour d'émeute:
che,-deux des éléments c
rre et coiffés d'un vieux chapeau, vêtus d'une vieille capote et armés d'un baton étendu comme un fusil en joue. Cela fait, il arrête la diligence qui passe le soir, et les voyageurs, ef
; voici ma montre; c'est un bréguet que je vous recommande; je la monte tous les soirs à neuf heures; elle n'avanc
sa supercherie;-alors il se relève furieux, tombe sur le mannequin à coups de parapluie. Ah! coquin! ah! voleur! tu n'es qu'un mannequin?-Je vais
et détruit la Bastille, laquelle n'existait plus depuis treize ans, c'est-à-dire depuis que le roi et Malesherbes avaient ouvert les portes aux p
emps, que fa
it à un d
uduleux... Ruiner l'état ou pressurer le peuple, voilà tout leur secret! Ce n'est pas ainsi que Sully acquittait les dettes contractées par le bon Henri, après une guerre longue et sanglante, lorsque les forfaits de la Ligue, la haine des catholiques et la méfiance des protestants semblèrent ?ter toute confiance. Sully ne se borna point à de bizarres spéculations, il méprisait les esprits systématiques: ce n'est que dans l'économie qu'il trouvait des ressource
ait à Ma
la plus haute importance, pour la prospérité de mon règne, que mes yeux se reposent avec satisfaction sur quelques sages de mon choix; que je pui
vous êtes trop nécessaire à mon service; et, quand vous aurez lu cette lettre en entier, j
touchante simplicité de vos m?urs; mais Turgot vous fit entendre qu'il ne pouvait
é de ses favorites, et vous avez refusé d'en faire usage. La Bastille regorgeait de prisonniers qui, après plusieurs années de détention, ignoraient quelquefois leurs cr
vaine pompe, je n'aurai plus d'autre maison que les hommes de bien,
s l'éducation de son fils, il
tuteur du
le c?ur, l'esprit et
s avec douceur feront na?tre dans le c?ur de votre jeune élève la douce sensibilité, la honte de
ble occupation qui ne fatigue point la mémoire, qui excite la curiosité, donne le go?t de l'étude e
eux; un de nos sages philosophes par excellence a fait mon apologie: mon fils ne sera que trop tenté d'imiter un jour ceux de ses ancêtres qui ne furent recommandables que par des exploits guerriers. La gloire militaire tourne la tête. Eh! quelle gloire que celle qui répand des flots de sa
ses facultés intellectuelles cette pureté d'expression que doit avoir, dans ses p
e: ces princes sont des météores qui ont protégé le commerce, agrandi la sphère des arts, enf
éfléchir sur lui le miroir de la vérité sur tout ce qui peut lui rappe
hie, bient?t les premiers éléments de l'histoire lui seront développés,
ut être très sobre de son autorité. Les lois sont les colonnes du tr?n
nt été MM. Ferry, Constans, Lockroy, Rouvier, Freycinet, Tirard, Floquet, Laguerre, V
t sa sainte s?ur, et on a fait mourir
men
er, rappeler et ramener, parce que là seulement vous voyez
as et ne permettent pas à leurs ambassadeurs
ès des pillages, des ruines, des misères de tout genre, nous sommes m
rd, mais trop tard, se sont entre guillotinés,-quelques-uns se réservant pour l'antichambre de Napoléon!-Louis XVI e?t épargné à la France neuf cent quatre-vingt-neuf mille huit cent seize femmes, hommes, enfants, guillotinés, mitraillés, noyés, massacrés avec des raffinements de cruaut
sant ses jours sur le tr?ne, e?t laissé pour continuer son ?uvre l
rmit de renouer le fil de la t
ous voulez en revenir, car vous élevez des statues à étienne Marcel, assassin et tra?tre qui allait livrer Paris à Charles le Mauvais, lorsqu'il e?t la tête fendue par un bourgeois; à Danton, l'instigateur des massacres de Septembre.-Mais, pour célébrer justement, honnêtement, heureusement le centenaire de 1789, c'est aux quatre victimes assassinées,-Louis XVI, Marie-Antoinette, Madame Elisabeth et le petit dauphin, qu
me cela-d'être député,-je monterais à la tribune
à l'abolition du despotisme, à l'extinction des privilèges, à l'égalité devant la loi, à la liberté dont Louis XVI fut unanimement déc
f pour les électeurs de voir c
IX DE
, à Nice, on vient de dé
t dans mon esprit;-je vais vous les dire
garanties aura-t-on de leur compétence, de leur
féminine.-Combien savent par la pensée séparer une femme de sa parure, et
l'Odyssée et l'énéide,-Vénus, malgré sa supériorité sur Junon et Pallas,-eut des dout
senté les trois déesses,-seul costume convenable pour un jugement sérieux.-Si les candidates sont vêtues, il ne s'agit plus que du visage, et la tête n'est en hauteur que la septième parti
hose à leur propre beauté.-Autrement permettraient-elles à des modes absurdes-tant?t de leur faire les bras plus gros que la taille, les manches à gigot; tant?t de leur mettre,
e déshabillant le soir telles se trouvaient construi
ccès qu'obtiennent auprès des hommes certain
beauté en deux espèces trè
i se prouve-et la b
ts;-c'est une question, ou plut?t une grammaire, une syntaxe qui dit inflexiblement com
orte victorieusement sur cette réunion:-c'est le charme,-et c'est ce qui constitue l
t très souvent, exige un petit front, un petit nez droit; elle fixe la dim
l'esprit.-Que deviendraient les plus grandes, les plus belle
u petit nez retroussé de Roxelane
phe ne la portera-t
avoir les yeux trop grands, la bouche et
qu'elles obtiennent sur les hommes qu'elles ont attirés; mais, là encore, elles pe
eveux roux honnis d'abord, puis ensuite adorés au point de faire gater les plus belles chevelures noires, brunes ou blondes par des teintures vénéneuses.-J'ai vu plus d'une fois telle femme médiocrement et même point du tout belle, mais se déclarant elle-même, s'établissant, s'installant jolie femme et disant: ?Nous autres jol
e mine hypocritement fachée: ?Mon Dieu que les hommes sont ennuyeux
mps ni ?payer trop cher?. Quand ils suivent une femme dans la rue, c'est qu'elle a le malheur de leur inspirer la pensée que ce genre d'attaque peut réussir-et les mener à un but qui n'a pas de quoi t'enorgueillir;-combien, même au salon, doivent ce qu'elles croient un succès à une apparence de facilité,-tandis que cette femme que tu vois moins entourée, jamais suivie dans la rue doit ce que tu crois un abandon, une infériorité, une défaite à la parfaite correction, à la sévérité de son costume, de sa d
ns la rue, à la promenade et dans les lieux publics que modestement, simplement, austèrement vêtues-presque sous le
te franchis.-Et tout cela pour se faire battre, car, comme filles, elles sont toujours moins filles que les vraies filles;-très peu même peuvent lutter de luxe avec elles, car une ?honnête femme? ne peut guère ruiner que son mari et, à la rigueur, un amant,-tandis que les filles ruinent le public;-elles n'ont pas compris, elles ne comprennent pas que c'était en sens contraire qu'il fallait engager la lutte, qu'il fallait être ?autres?, ce grand charme! qu'il fallait rendre leurs salons plus r
ujourd'hui, sauf quelques rares exceptions,-on veut la foule-la publicité; on a soin d'inviter des journalistes po
e, on les cajole pour avoir un ?bon article?, sauf à dire
lus rares et les plus incontestables beautés;-une autre femme scandalisée de cette influence que naturellement elle ne pouv
ections de formes, d'élégance, de teint, d'expression; f?tes-vous Vénus elle-même, il est un succès que vous ne pouvez atteindre, c'est d'êtr
mme un harem complet; mais ne croyez pas que ce don-là, peu prodigué par la Providence, se puisse obtenir en se déguisant, en se métamorphosant;-non, il est nati
n immédiate et universelle dans le monde entier de telle ou telle forme de vêtements, de coiffures, de chaussures, de tell
e des cheveux rouges, mode intermittente; car cette coule
e Martial! qui envoie un savon à
git la chevelure des Teutones, et rendra la v?tre p
icos accendit
abat au lit impérial, s'en allant la nuit cac
vo crinem
et de la couleur des roses pales comme ?le Souvenir de la Malmaison ou le Captain Christy, ces yeux de turquoise, cette abondante chevelure rutilante, il était impossible d'être plus ?autre? et d'en bénéficier davantage, et, à ce titre, elle excitait plus d'admiration qu'il ne lui en était légitimement d?.-Un des amis de l'amoureux s'avisa, dans une intention qu'il croyait bonne, de le conduire un jour sans l'avertir, dans un jardin où il savait que la belle rousse avait coutume de se promener tous les matins pour prendre
lus tard d'avoir
doive s'efforcer de guérir, est, au contraire, l'état le plus complet de la pleine et heureuse santé du corp
doyen des étudiants? de même, pour ceux qui ont étudié la femme, on est obligé de s'avouer qu'on ne sait pas grand'chose et qu'il faut se dire étudiant de première, de se
attrait de cette étude ardue et vertigineuse, je ne me lasse pas de chercher partout des lumières et même des lueurs; j'en demande même aux saint
orts, de converser souvent en termes familiers avec des femmes sans perdre qu
e on disait que c'était la plus belle femme de cette contrée, il se tourna vers moi et me dit: ?Je l'ai déjà ou? dire à plusieurs.?-Je lui ré
avec sa simpl
e lui ai parlé beaucoup de fois; mais je puis
ent faut-il faire pour voir
e faut voir superficiellement et en général pour distinguer que c'est une femme à qui on parle, et se
dresse et une indulgences paternelles,-mais il se défiait d'elles
e qualité? et de grande dévotion, qui était sous sa conduite, n'avait pas
s de l'essence de ce sexe, et puis je crois que la sainte femme Rébecca, qui était bien aussi vertueuse que cette
érité ni les observations, quelqu'un lui dit un jour assez in
l en était de même de Jésus-Christ
pour rien, repartit Fran?ois de Sales, de les laisser tout dire? Elles ont plus de besoin et de désir d'oreilles pour les écouter que des langues qui leur parlent et leur répondent;-elles en disent pour elles
cret, pour se concilier les femmes, de les écouter, de les encourag
de raison, l'attribuaient à ceci, que la plupart des crimes commis par les hommes étaient commis pour les femmes;-d'où cet aphorisme généralement adopté par la justice: ?Quand un crime est commis, cherchez la femme.? Mais il faut constater aujourd'hui que cette proportion n'est déjà plus
r l'indulgence singulière du jury,-qui acquitte ou ne frappe que de peines légères les femmes qui déclarent digne de mort l'infidélité des hommes; elles défigurent, à l
fois indissoluble;-le divorc
imes, grace à la crainte du vitriol et à l'indulg
erai aujourd'hui par une histoire
lques heures;-un jour les paysans, qui cultivaient la terre autour du pavillon, et les gardes-chasse virent avec étonnement, à un
-qui faisait toutes leurs provisions au village, mais ne répondait à aucune question. Cet homme, qui vécut jusqu'à près de cent ans et survécut beaucoup à t
ec le diable, de ces femmes qui, comme dit Lucien, sont expertes dans les
γουσα [tên selên
d'une riche housse comme un palefroi,-disparaissait dans les airs et
mmis dans un pays bien loin de là, elle l'avait fait dispara?tre et l'avait en
'avait, non plus, jamais connu de mari ni d'amant à sa mère,-
forêt, fut surpris par un orage subit-tonnerre, pluie et grêle,-et
que la mère avait versé clandestinement un philtre dans le lait que but le prince;-mais Proserpine-c'est l
nir les preuves qu'il aurait désirées.-Il avertit un jour la mère et la fille qu'il serait quelques jours sans les voir, à cause d'u
ses épaules, ils la revêtaient tout entière comme d'un vaste manteau royal, et si fins, qu'il en fallait cinq pour faire le volum
était perdu;-ces cheveux étaient un talisman,
nde beauté de sa femme et s'empressa de revenir auprès de celle qui l'avait ensorcelé. Mais l'homme basané, en allant aux provisions dans le village, avait appris et rapporté à ses ma?tresses ce qui se passait.-Leur désappoint
des restrictions graduées juste au point nécessaire pour exaspérer sa passion. Proserpine était peu susceptible de tendresse, mais elle était
e très fréquentes visites;-parfois il lui semblait qu'il gagnait quelque chose sur les savantes et stratégi
ste mèche de cheveux, par ce diabolique talisman, il éprouvait pour cette très belle, très charmante personne un éloignement, une répugnance qu'on pourrait dire miraculeuse, si bie
rs, me donne un baiser sur le front et s'en va dormir ch
nce sur sa femme; il essayait d'éluder l
-elle
mais je ne la regarde pas; je vous ai
dit un jour Proserpine en allo
, je n'y ai pas fait a
oi un de se
ne put le chausser. Sa haine et son désespoir furent à leur comble.-Elle parla à sa mère de se t
-elle avec un doux sourire,-mais peut-
ous adore,-elle passe pour avoir de très beaux cheveux.-mais j'y ai fait peu
encore vaincue, je me résignerai à accepter le second rang;-car, pour ce qui es
mander une mèche de ses cheveux?-avec le
a le prix de ce que vous appelez un bonheur
boucle de ses cheveux; elle lui répondrait: ?Pourquoi un
ble de faire dérober cette mè
e les siens,-je vais lui porter ses propres cheveux que j'ai dans le petit sachet;-je n'ai plus besoin de ce gage, puisqu'en le sacrifiant je conquiers Proserpine tout entiè
que, ce soir, quand je serai décoiffée, je les compa
rti,-elle cou
les c
mettront fin à sa vie en quelques instants, dans d'horribles souffrances. Mais tu verras ce que c'est que l'a
t un certain carrefour de la forêt; j'
bes et y jeta la mèche de cheveux; mais, au premier crépitement que firent les cheveux en br?lant, celle à qui ils appartenaient et contre laquelle la conjuration était faite, Proserp
isman, il fut délivré de l'obsession;-ses yeux s'o
uant à la conception, avec cette même nuit
ta l'histoire avant de mourir avec l
ssi, célébrer le fameux
re de France depuis cent ans, par un vieux spectateur
s effrontés publiés sur cette époque en tant de volum
d'esprits et infligé à la France
trouve à Paris, boulevard Victor-H
ME DANS
fière et spirituelle,-elle joint la majesté et la souplesse de la taille, la noblesse et l'harmonie de la démarche, une voix mélodieuse et doucement vibrante et pénétrante. ?Ah! la belle, la charmante c
ofanation! quel crime d'avoir livré cette
? Vous êtes désenchanté, et vous cherchez à démêler sur ce visage qui vous charmait des signes
à Paris, à l'Exposition. Ils voient la France grande, riche, puissante, embelli
e, la mervei
rands hommes, les génies, les demi-dieu
i-là, du temps que le petit Thiers se faisait leur complice pour devenir leur ma?tre, a été publiquement accusé par lui d'avoir son incapacité et sa présomption infligé à la France la moitié de ses pertes en hommes, en argent et en territoire; tel autre a participé aux crimes de la Commune, pillage, assassinats, incendies. Chacun d'eux se sentant petit, ayant soin de ne pas laisser arriver a
e, ces crapules, ces escarpes, et ces souten
tristesse de la voir avilie, déshon
elle les a choisis, elle
ble prostitution! comment allier t
de Bea
promis, en retour, de vous aider de mon petit mieux par des renseignements et des avis d
l'arrestation préventive que vous aviez décrétée contre eux, qu'il y a déjà longtemps qu'ils seraient
èreté et d'exciter l'amour du nouveau caractère fran?ais. Le public finira par dire: ?Quoi! encore le procès Boulanger! Ah! c'est v
quoi! vous avez dérangé, ennuyé tant de gens qui ne tenaient ni de près ni de loin à l'affaire, et vous n'avez
? ou a-t-il, comme son ma?tre, réussi
seulement son nom? ce nom destiné à l'immortalité, comme celui du Bucéphale d'Alexandre, du Bayard de Roland, de
ossi
es coursie
equel Richard III offrait son royaume. Et le cheval de Job, qui disait: ?Allons!? Et l'ane de Balaam qui donnait de si bons conseils au prophète, lequel se repentit amèrement de ne p
ou à l'h?pital; s'il est en état de lui donner de sages avis; si, contrairement à Richard III, le brav'général pourrait le troquer con
monti
gne?, c'est-à-dire feig
a f?ta
fran?ais, peuple aussi jobard que les Troyens, s'attelle
er en cette circonsta
credit
iez-vous du
ncs de votre éloquence, comme le fi
em viribus has
ajoutaient beaucoup de foi a
us tirer aucun présage,
faute. Sans son cheval noir, le général Boulanger
ez pas aller à une colère irréfléchie. Je vous rappell
?café au lait? de l'empereur Napoléon. Ce n'était pas vrai, mais tout le monde le
trevues et accointances de rois
férence entre l'empereur Guillaume et le roi Humbert, tous deux faisant les gestes et, derrière eu
'Italien en soldat prussien, le Prussien en soldat italien, se privant de parler le fran?ais, q
s raisons au moins de clarté pour que, depuis si longtemps, on ait adopté la langue fran?aise comme langue diplomatique et commune à tous pour les conférences, tra
ue fran?aise dans les relations politiques, et, dérogeant à l'usage, avait écrit en allemand au gouvernem
e-t-on généralement, pour but une alliance offensive et dé
erre ruineux pour elle et qui est loin de lui concilier la bienveillance des autres états de l'Europe, forcés de s'imposer les mêmes charges. On a dit que le père de l'empereur actue
sinon d'en finir tout à fait et de régler ses comptes avec la France, sa bienfaitrice, par l'ingratit
sa voisine a jeté une partie des popula
des jambes et des bras à trois ou quatre peuples différents, en comptant les leurs, à faire chez les autres et chez eux-mêmes
es, de bras et de jambes, qui ont fait un peu plus de veuves et d'orphelins et de mères sans enfants chez le peuple v
longtemps, mais j'ai assez connu son père, le brave, bon et intelligent Victor-Emmanuel, qui m'honora
ersation que j'ai eue avec lui, à Ro
près une année à Nervi, auprès de Gênes, je vins planter ma
s imposées par la loi aux étrangers.-Il s'agissait de prendre un Italien comme ?gérant responsable?.-J'écrivis au ministre pour dema
vour me
t;-le Roi, qui conna?t vos Guêpes, m'ordonne de faire mettre son nom en tête de la liste de vos abonnés, et, comme
, à répondre de mes fautes, erreurs, sottises et crimes, et à payer, en mon
a?tre Bonnavera-et je ne l'ai jamais vu pendant plusieurs années qu'
:-la première fois, je ne sais plus pourquoi; la seconde, pour
nversation gaie, familière, sans apprêt, et, en même temps, sérieuse, nette et intelligente, rapprochée de
m'étais alors fait jardinier-demander je ne sais quel légume ou quel assaisonn
é de quoi assurer le macaroni pour mes vieux jours, et je ne tarderai pas à prendre ma retraite-pour un hom
l'heure.-Mais le roi est parti pour la chasse dans la montagne; il rentre une heure, deux heures, trois heures plus tard.-Enfin, j
s une cabane de berger, s'est fait donner une miche de pain de ma?s ou un morceau de pol
us, du reste, que Henry, qui se contentait si bien du ?petit vin? d'Arbois, de son compère Rosny;-les deux autres: ?aimer,
r-Emmanuel combattit de sa personne avec tant d'ardeur avec les so
s à M. d
outer un peu à l'occasion.-Je voud
leur marché de leur peau et de leur vie que de la peau et de la vie de leurs soldats.-Mais ce ne peut être qu'accidentellement; car un roi ou un général qui sabre
oid, sa décision, son génie,-il peut représ
troupes fran?aises, proclamé caporal des zouave
vour me
il a dit: ?Au fond, il a raison.? Et il m'a ordonné d
où les souverains, rois, empereurs, etc., en distribuent en partant-comme les bourgeoi
au jardin et à la mer, en manches de chemise, ce
i. D'autre part, le ruban de cette décoration est vert, couleur qui s'associe si harmonieusement
les désastres de la guerre d'Allemagne,-dus pour la première moitié à Napoléon III et à Olli
der la permission de lui présenter mes respects.-Je connaissais un peu, pour l'avoir vu
vous u
ma forme, peut-être à ma physionomie, peut-être aussi au peu d'argent que je comptais et pouvais y mettre.-Ce choix fait, je n'ai pas plus changé que l'oiseau ne change
nnait l'officier et, le lendemain, en abordant le roi, je lui dis qu'o
nu compte de ces sottises.-Si vous restez quelque temps à Rome, si vous revenez me voir, et s'il fait ch
ué mon métier; seulement vous avez eu plus d'avancement
i caporal des zouaves. Et encore, j'ai eu d'heureuses chances; je n'étais pas aussi mal qu'on l'a cru avec le pape, qui aurait pu, s'il l'avait voulu,
asse pour avoir assez d'intelligen
as que vous croyiez-je ne veux pas que personne croie-que j'ai été ingrat, et que j'ai volontairement abandonné la France dans son malheur; c
d'avance; roi constitutionnel, je n'ai ni armée ni argent,
dre, par hasard, étant à la chasse dans la mont
e, la France a la vie dure, elle ne
e pleine d'officiers, qui précédait son cabinet, et, là, me ten
taliens, soyons
les écrivis alors et les publiai;-et je me les rappelle aujourd'hui en pensant que le fil
ion italienne, et j'ai détaché de la boutonnière de ma vareuse le ruban vert qui, depuis trente
si longtemps de se dire le peuple le plus spirituel de la terre, se
, on vous fait croire qu
uzaine et demie de petites républiques se sont taillé des carmagnoles et sont plus divisées entre elles, plus ennemies, plus acharnées les unes contre
-idem radicale;-idem possibiliste;-idem revisionniste;-idem intra
a été trahi et dénoncé par la digne
u'est les princesses, c'
été si près que sous trois rois;-Henri IV, Louis XVI et Louis-Philippe;-de ces trois r
ompose mi-parti de radicaux, mi-parti d'opportunistes, unis provisoire
l y a d'indigents da
lies il y a quarante ans,-un indigent légal,
te de la misère honteuse, dissimulée, qu
ué depuis l'établissement d
des habitudes de luxe relatif,-le ?pain quotidien?, se composent de beaucoup plus d'éléments qu'autrefois, l
habitants,-voici les festins que la République, que le consei
TA
revisses S
cullus-Tart
sauce I
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u-Yque
ot-Georges
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-Liq
tres d'h?tel-aidés du personnel secon
es avait devant lui cinq ve
es de G
ureux, combien de femmes, d'enfa
mme son prédécesseur, dans sa poche, la grosse liste civile qui lui est allouée,-il dépense l'argent qu'il re?oit,-il s'est fait faire po
e tendre, le blanc, le bleu pale,-un tricolore discret,-une aigrette de diamants
pas plus près de la République
enal.-Tachez d'avoir du poisson,-nous boirons un
apeau gris sur la tête-et son parapluie à la main,-n'avait-il
les et de ses brus,-on ne les voyait jamais dehors. Autour de la reine, elles travaillaient pour l
stant dans sa maison
domun servivi
ujourd'hui, qu'est les principes!? ce n'est pas ces
elle doit regretter Louis XIV, qui se montrait
I avait supprimée par économie, a été réta
re?u dans les ville
s qu'est
frageurs qui ont partagé les épaves-et qui n'oseraient pas, ceux-là, prétendre qu'ils ne sont pas heureux des désastres de la patrie;
PROP
ande Revue-Paris et Saint-Pétersbourg,-que quelques critiques m'accusent
nce du juge d'instruction et du tribunal, comme on dit au Palais et dans les journaux judiciaires:-?J'entrerai d'abor
ans m'en apercevoir, tant?t avec p
lus ou moins captieuses, gardait un silence obstiné?-Plus embarrassé, me dit-il, que vous ne sauriez le supposer; mais cela n'est jamais arrivé ni à moi ni à aucun de mes confrères; quelques accusés essayent de ne pas parler, mais ?a ne dure pas longtemps. Peut-être suis-je comme eux et aurais-je mieux f
es histoires et des contes pendant plus de soixante ans, oserait affirmer qu'il
ntestée alors, bien vite oublié depuis,-il s'appelait Chatelain.-Il disait un jour: ?Voilà v
i déclaré la guerre n'ont pas plus varié, les
re main, il me prend ma montre, que voulez-vous que je crie?- Je crie encore au
u feu jusqu'à ce que les secours arrivent, sans se préo
qui, d'après une légende conservée à la Sorbonne, fit
ion d'un incendie, et dans cette d
, undam, acc
en, mais pas tout à fait
au! de l'eau! ci
harmonie imitative-qui était alors très à la mode.-Il semblait, en lisan
eproduit par ce
de l'eau
n si on pratique, en le lisant, les él
und!-accur
dans le v
serpents qui siffl
ouissances qui soient permises à l'esprit
tte, concise, disant tout, sans un seul mot de trop, formant une im
deviner la beauté, enveloppée qu'elle est par la vase durcie-qu'on appelle le ?drap marin?. Au moyen de certains acides et d'une patience obsti
qui ont été acceptées comme aphorismes, axiomes-et mêmes proverbes;-ce qui n'arrive que lorsque l'auteur a disparu, lo
considère le sujet comme suffisamment étudié; d'autres peut-être feraient mieux, mais pas moi.-J'ai dit tout ce que [je] sais, et, lorsque se représentent de nouv
e crois pas obligé, pour chaque coup de fusil, de fabri
donne de nouveaux coups précisément dans l'e
cation, il donne des coups d'aviron répétés,-égaux, mesurés, cad
qu'on ne croit, formant un cercle, tournant en rond et se reproduisant les uns après les autres.-J'appelle pa
ormules si j'avais un certain nombre de fois mod
bre des députés.-Eh bien, ces questions, je les ai laborieusement étudiées,
ation,-du pauvre de profession, qui, dans la mendicité, a trouvé des ressources plus fortes que ne pourrait lui en donner le travail.-Ces pauvres de profession sont les parasites des vrais pauvres; par leur effronterie
vie, par la vieillesse, par l'infirmité, par la maladie,-par le manque d'ouvrage;-elle verra si cette situ
ent correcte, mais les attaques visaient l'institution, et non pas lui; les marchands de vins, qui sont aujourd'hui un des pouvoirs de l'Etat, voulant détruire une surveillance incommode qu
nt sous, il serait arrêté, emprisonné, frappé de grosses amendes c
vins de l'arsenic ou tout autre substance toxique, il serait arrêté e
eur qui volerait ou empoisonnerait l'épicier et le marchand de vins. Pourquoi des synonymes atténuants et doucer
e Decazeville, et d'insulter à la mémoire de la victime, prétendant qu'il fallait amnistier ces pauvres assassins et n
'est pas moi qui
endant ce qui s'était dit de plus raisonnable e
été odieux, absurde, criminel et bête le discours de M. Pelletan. Supposons qu'un de ces jours, il recommence, en vue d'une ignoble popularité, à proférer des é
nne, deux ingénieurs se sont fait intrépidement descendre
, si noblement dévoués pour les secourir,-qu'ils aimeront, qu'ils écouteront, auxquels, le cas échéant, ils donneront leurs voix pour les représenter à la Chambre: ce sera à M. Basly.-Eh bien, quand j'aurai dit une fois que M. Basly, l'ex-cabaretier, l'entrepreneur, l'impresario de grèves et d'émeutes est un animal dangereux, une bête puante et enragée, surtout pour le malheur des ouvriers!-ch
à ceux qui ont remarqué mes répétitions; car c'est
y en a un autre tout prêt-qui demandera moins de temps et moins de
stans, aujourd'hui mi
it pas consul. Cicéron dévoila ses forfaitures, ses concussions,
le rapport de Richaud, a joué au Tonkin le petit Verrès; pour prix de se
ignorait pas les bruits qui couraient et qui sont tellement confirmés aujourd'hui, que l'opinion publique, exaspérée, commence à émettre des doutes sur le cho
entiellement à son devoir.-Cadet Roussel (?a, c'est encore une chose que j'ai déjà dite et que je répète), Cadet Roussel é
rd et conserver ensuite un homme comme M.
opre dans sa vie, c'est
s splendeurs de l'Exposition qu'il fallait lui présenter un pareil ministère, comm
, il n'en co?tera pas davantage à mes lecteurs, à
ssages d'un livre que j'ai publié il y a une vingta
ns dont la plus grande partie n
et étaient non seulement électeurs, mais candidats acclamés plut?t qu'élus. M. Gambetta n'était nommé qu'à une faible majorité.-On voyait pêle-mêle entrer à la députation, d
e fran?aise, le Journal officiel s'appelait la Carmagnole, on élevait des statues aux martyrs de la Commune, a
Assemblée réactionnaire:-nouvelle dissolution,-nouvel
s de cha?nes de s?reté,-les croupiers des trois cartes,-les victime
'air national,-mais ce gouvernement est bient?t à son tour traité de réactionnaire, Polyte, Gugusse
gachis, de boue et de sang, des fuites, des exils, des p
murs de Paris co
ANDE U
d'en haut, venait-il d'en bas? Je l'ignore, les rêves sont
celui-ci régnait,-qu
it prononcé le premier jour
?té, tas d'imbéciles e
troisième fois, comme pour les deux autres, alliés et disciplinés pour l'at
tez, vous vous ?engueulez?, vous v
spiré à tous les honnêtes gens la terreur, le dégo?t et l'horreur de la Républiq
, tas d'imbécil
libe
om que vous avez sottement don
pour vos pauvres têtes:-vous naissez gais, à moiti
ts, des justes et des vertueux. A
connaissez seulement pas;-vous ne vous cr
es;-vous savez bien que vous avez laissé ou plut?t fait tuer en les abandonnant le très petit n
bonheur,-la mode d'être heureux
de trop parler et d
malédiction énergique, et, me conformant à l'exemple d'un autre tyran, mon p
vire jubet, A
de parler,-ordre qui s'était misérablement interverti:-le Fran?ais s'était accoutumé à lire, tous les matins, dans les journaux, ses opinions et ses
lence, nous verrons s'il convient
c?té,-d'imbéciles et
je n'osais prédire ce qui allait arriver et le point
que nous
professais, depuis un demi siècle, et je professe encore
uchesse d'
mière moitié de la vie, alors qu'on peut espérer ou craindre encore de nombreux jours, la mort des gens aimés vous inflige une longue séparation,-tandis qu'à l'age que j'ai aujourd'hui, on se sent plus près des morts que des vivants; que, d'ailleurs,
s de découvrir Saint-Adresse après étretat, et mes bavardages, et aussi la réputation que m'avai
son régiment; c'était une charmante famille;-la duchesse avait été, était encore une des femmes les plus belle
e petite Hélène, filleule de la duchesse d'Orléans, qui en avait à peine quatre ou cinq; puis Henry Souham, à peu près de l'age de Michel;-à la mort de Henry Souham, frère de madame d'Elchinge
iste habile, elle ajoutait un grand charme aux soirées, avec des mélodies rapportées d'Afriq
avait été prendre du service en Suède auprès de Bernadotte, où il était devenu capitaine d'artillerie; mais, en 1830, il rentra en France et fut nommé capitaine de cavalerie; il fit la campa
au bord de la mer, et le professeur des gar?ons passait je cr
ertaines circonstances de ce temps-là, où toute cette belle fa
chait;-elle s'occupait aussi de mettre ordre, par ses relations à Paris, à des injustices,
qui y vivaient alors, vous parliez de madame d'Elchingen, peut-être ne comprendrait-on pas tout
s ?confortables? qu'on lui offrait et qu'on l'engageait à prendre;-mais elle refusa toujours de changer de r
ingen; elle s'excusa du costume ?à peine présentable de ses enfants?.-?Attendez un instant, dit la duchesse, qu'on me cherche toute la troupe.? Ils arrivèrent couverts de sable, trempés d'eau, etc. On avait d? tirer Michel par les pieds pour le faire sortir d'un so
ur du Jardin d'acclimatation à Paris,-je me rappelle qu'allant un jour voir leur père au Muséum, je trou
une femme qui pleurait; elle s'approche d'
ous, ma pa
ée; qui vous a dit que je suis pauvre;-je ne suis pas pa
ai pensé que vous aviez du chagrin, et j'aurais voulu vous donne
ils, qui est au service, devait avoir un con
e fils es
soldat?-Mon fils n'est p
aire; c'est un beau titre que celui de soldat;-mon mari e
nne, écrivit à Paris, obtint le congé désiré, et
vieux, qui avaient besoin de lui;-un autre douanier qui ava
ad
les douaniers, c'est pourquo
e me fait app
s que, vous et les enfants, vous
de manquer à l'ordre, en voici un autre.-Ma
ans Karr. Eh bien, j'en suis à ce second
es trois-mailles à la mer, et, demain
dus assez au large, que la pauvre duchesse fut prise d'un tel mal de mer, qu'après une lutte héro
qu'un service, ne vous faire qu'un plaisir, c
i à mon
erre, et
rent de celui où elle allait aborder;-puis je courus chez elle chercher sa femme de chamb
d'Elchingen, seulement je ne croyais pas l'être
ilà des gens qu'il est agréable de mener promener; vous ne s
des livres de contes aux qu
en nous faire le
'éditeur de l'excellent Magasin illustré, me demandant un conte, je me rappelai le
ette famille, al
tre à l'écart;-puis en 1851, le président le fit général de brigade, et il fut choisi pour commander une b
al de brigade, il allait être promu divisionnaire-à quarante-quatre ans;-il avait vingt-s
apoplexie, lieutenant-colonel de caval
n ouvrage très célèbre en Allemagne, du général de Clausevitz:-Théorie de la grande guerre.-Cet ouvrage, commencé, dit-il, sans autre intention que de tromper ses regrets
on tenue,-je ne l'ai jamais revue;-elle a épousé le prince Nicolas Bibesco, élève de l'école Polytechnique, officier de la Légion d'honneur, chef d'escadron
de trois ou quat
dont ils ont grand besoin. Mais tout à coup du haut de la ?montagne?, de montibus, les harpies fondent sur eux d'un effroyable vol, battant bruyamment des ailes et poussant des cris
davantage à ces fripouilles qui, sur le point d'être chassés d'un ?garni? qu'ils ont sali sans jamais payer le loyer, ?déménagent à la
moins il les vendait cher;-ceux-ci en ont fait une monnaie de billon pour payer ou acheter de petits services et donner des pourboires à leurs complice
ez complice de M. Boulanger pour affronte
blique, qu'il aura de son mieux tant contribué à détruire.
premier ministère du président Boulanger;-par allusion au coup de 1852
MA DU
plus bête, plus contraire à toute id
s vainqueurs, qui viennent d'avoir
douceurs, blandices et petits profits;-mais ils ont été jugés par des gens qui conspirent pour le garder après avoir antérieurement con
viles et aux agitations intestines que le démocratique, parce qu'il n'y en
r qu'au-dessous de lui et à une certaine hauteur;-mais sous un gouvernement où on a vu la royauté exercée par le vieil avocat Grévy, par tel petit journaliste comme Yves Guyot, par
elle a laissé les soi-disant républicains et les soi-disant révisionnistes se gourmer entre eux;-le général a été condamné, les juges ont été pas mal déshonorés;-cela pou
civile perpétuelle,-nous verrons les acteurs se battre derrière la toile à qui aura les grands r?les, et
a vanité qui étaient en jeu;-on voulait le ?pouvoir?, on voulait dominer;-aujourd'hui, ce qu'on veut, c'est le profit, on veut l'argent, on veut s'enrichir, on n'est pas a
e a notablement altéré et détérioré ce caractère, un peuple autrefois bon, bienveil
un état très petit, où chaque citoyen puisse aisément conna?tre tou
la mer,-au moins la liberté ne peut gater les autres pays,-et, alors, on pourra essayer et voir com
rasse aussit?t qu'on est arrivé, parce qu'il n'y a point moyen de gouverner avec ces maximes;-ainsi l'absolue souveraineté du peuple-rend inutiles et inapplicabl
ffaires;-voyez la conspiration de Boulanger contre Carnot, Constans, Yve
une preuve irréfutable; les actionnaires, ?les gogos? qui fournissent l'argent c
us les contribuables,-et cela sans les consulter, malgré eux;-leurs louis d'or et leurs p
oux à un jeu de hasard,-il les regarde et finit par prendre, sans savoir pourquoi, intérêt à un des deux jou
te voyant venir de loin nous avons joué à qui t
elle ou telle coterie,-et pariant pour elle,-Constans
ire mourir Socrate-et bannir Aristide, parce que cela ennuie de l'entendre appeler le juste; ?a n'est pas joli, mais c'est comme ?a,-cela a, cependant, souvent des mérites; entre autres, celui de nous épargner l'éc?urant
i vous le voulez bien, du P
re, il était facile et permis d'oublier; un homme qui a toujours vécu loin de tout et de tous,-qui n'a jamais fait partie de rien
justice et plaisir,-je
elligence, le go?t avec lesquels les personnages sont groupés,-sur la frappante ressemblan
rconvenir par des importunités, des obsessions, des exigences, des camaraderies, des pressions, pour donner à certaines personnes dans le panorama une place qu'elles n'o
oublis involontaires, quelques erreurs-qu'il leur sera facile de réparer;-aussi et tout à l'heur
urait pas d? être un homme se mêlant de politique, affilié, qui plus est, à une coterie;-cette exhibition ne pouvait être faite qu'avec une complète impartialité,-une parfai
rama et ne pas imposer des opinions, des appréciati
du siècle,-déclare Necker probe et austère;-eh bien, tout le monde n
a être assassiné par un semblant de justice et ne pas dire,
, après avoir été l'idole des Parisiens. Il ne fallait pas appeler ?la Belle dame?
e comme MM. Ge
ine Marie-Antoinette-l
humble courtisan;-et, voulant ajouter une épithète au nom du peintre,-l'auteur de la notice tombe malheureusement,-quand il avait
adjectifs;-il appelle Horace Vernet le ?fantassin de la peinture?; peut-être n'a-t-il jamais vu les magnifiques chevaux de front s'élancer hors
é divin au milieu d'Auber, d'
poser le devoir de mettre une adjectif à chaque nom. Ainsi, il appelle les esprits riants, les plus gais, les plus doux de notre temps-le sombre Gérard de Nerval, et Morny également était loin d'être un
mplement qu'on leur désigne les si nombreux personnages du panorama-
reycinet-font sortir des armé
eurs,-auxquels-Thiers a reproché publiquement d'avoir, par leur incapacité et leur outre
Gambetta, voici M. de Freycinet,?-et tout le monde
et étonne le monde par la rapidité de sa
uvernement de MM. Constans, Rouvier, de Freycinet, etc., et au moins une grande p
-une notice pour reconna?tre une figure,-et non des opinions toutes faites sur
en très grande partie au zèle et à l'enthousiasme nouveau des républicains et soi-disant républicains, qui l'accablaient de tant d'injures et d'avanies en 1828, lorsqu'il était légitimiste; en 1830, lorsqu'il était orléaniste; en
z plus indulgent, ce n'est pas
stie ou d'orgueil pour laisser trente ans au hasard, q
oètes dont s'honore la France;-mais il n'est que cela.-Certes c'est
un caractère, ni un philo
d rang comme poète, en 1848, de gra
nt les eaux limpides réfléchissent comme un miroir, les arbres et les palais qui l'entourent devant, derrière à droite et à gauche-et aussi le ciel et les formes c
ant avec MM. St
e comme l'inventeur de la photo
e n'est nullement l'inventeur-et voici
busa de la candeur, de la na?veté d'un homme de génie-et l'amena à l'associer avec lui, sous prétexte de perfectionnements alors i
us la raison Niepce et Daguerre pour coopérer aux perfectionnements de
de chambre noire, ses talents et son industrie, et les bénéfices seront partag
sette d'officier de la Légion d'honneur, et je crois, une pension. Je ne sais par quelle finesse, quelle influence il obtint du fils de Niepce, malgré les co
i ai eu l'honneur de défendre Sauvage contre l'oppression et d'être son h?te pendant deux ans dans ma petite maison de Sainte-Ad
nt on disait alors que c'était Praxitèle ayant changé la
de marine dont tant de t
stin et Sainte Monique, de Francesca
arrêté par le portier. ?Monsieur, vous allez chez M. Scheffer?-Oui, mon ami.-Est-ce que vous auriez la complaisance de lui monter son
Boiteux, Paul et Virginie et des tableaux dont plusieurs sont à Versailles; je relèverai d'Alfred,-l'Entrée de Mademoiselle de Montpensier à Orléans,-Saint Martin don
'équinoxe sur la falaise-je ne sais plus de qui il était;-peut-être des
lfières. Parmentier, l'introducteur de ce pain tout fait appelé pomme de terre-et qu'on a appelé parmentière tant que le légume précieux n
oubliez le
l'auteur du Lion amoureux e
en par excellence,-l
c Bérat, le premier qui publia tant de romances et de chansons, dont, le premier après Jean-Jacques Rousseau, il faisait les
adieux,-la Mouche de M. Letortut. En parlant de Cavaignac et de Charras, vous avez oublié Tourret, le seul ministre de l'agriculture que j'aie connu depuis que je
spiration sublime, consacrant sa fortune, son intelligence et sa vie à sauver les enfants abandon
énergie, de dévouement, je ne vois pas chez vous Jauréguiberry, l'intrépide amira
, Potier, Bouffé;-les Brohan, la mère et les filles, Jenny Vertpré. Mais vous oubliez aussi des grandes cantatrices? Et cet intré
j'en suis certain, pour ne parler que de celles que je viens de vous signaler, que vous seriez heureux d'admettre d
es réclamations comme font les conducteurs
parmi ces ministres, un nombre remarquable qui, tombant au pouvoir, comme tombent les plu
s ressautent d
rtisan qui disait: ?Je déclare à l'avance que je suis l'ami et un peu le parent de tout homme qui arrive au pouvoir, décidé que je suis, au besoi
oublis involontaires que, j'en suis certain, vous regrettez amèrement;-et ainsi, en profitant de ces vacances et de quelques autres dont
, et mes félicitations, et mes remercie
e ch
temps, une entreprise qui peut et doit êtr
s, etc., etc.,-l'abonné re?oit, par l'entremise du journal, tout
ans un but de simple bienveillance, m'a adressé quel
remercier e
e de quelques extraits de journaux qui, par hasard, parlent de moi-et, avec m
tout, je ne suis rien dans rien et de rien, je ne pen
s dans ma longue carrière;-tel de mes livres a été écrit pour une seule personne-que parfois même je ne connais pas, qui ne me conna?t pas et qui ne me conna?tra jamais, comme j
e dont on dit le plus de bien aurait grand
.-Je ne cache pas que j'ai humé ces quelques grains d'encens; mais, après les éloges, viendraient les critiques, sans doute même les mauva
lveillantes, hostiles.-Fontenelle montrait un jour à ses amis une grand malle fermée. ?Dans cette malle, dit-il, j'ai mis tout ce qu'on a écrit contre moi-et je ne l'ai jamais lu;-peut-être dans le nombre se trouve-t-il des louanges, mais je payerais trop cher celles-ci en lisant les autres.? J'ajo
ales civilités-et une poignée de main enco
A
a
ON DE L
ST LEG
PRS
GRIP
E SUR LE
JEAN JACQUE
DE LA
BOULAN
E BEAU
DANS UN
ROPHé
A DU SI
mp. E. M