La Maison de l'Ogre

mes lecteurs que je me trouve d

é mandés, interrogés, ont eu leurs tiroirs forcés, leurs papiers indiscrètement feuilletés et empor

e, dans le numéro 9 de la Grande Re

able et ridicule parodie de ceux qu'ils proclamen

grands hommes d'aujourd'hui qui ont fait leurs preuves comme membres ou partisans de la Commune ne détesteraient pas cet expédient, mais ils sont arrêtés par un scr

citoyen Naquet a lu, comme régal, une lettre du général B

tte lettre,

l'histoire que, lorsqu'on fait tomber des têtes, on risque fort de perdre la sienne, et ils ne

faire les discours et les lettres de M. Boulanger?-envoie fouil

din, au moment où les camélias donnent leurs dernières fleurs pour faire humblement place aux roses, au moment où, d'un arbre à l'autre, s'étendent les guirlandes parfumées des glycin

on dans l

v'là qu'on

s ont déj

chante toute

les

es pe

sérieuse au voyage, je

our cette raison ou sous ce prétexte quelque chose d'enn

illés, pour des situations moins graves que celle où je me trouve par ce malheureu

e tout ce que je sais et tout ce que je pense, non pas de M. Boulanger, mais de l'affaire Boulanger,-car celui-ci y est personnellement pour peu de chose; je ne le connais pas, je n'en veux pas, mais je ne lui en veux

qu'elle a pu le frapper comme moi, quoique après moi;-et, d'ailleurs, on admettra facilement que, depuis qu'il est à Bruxelles, il ait pour se distr

e chercher, de colliger, d'inventer au besoin des ?preuves?, des révélations, etc. Vous vous jetez tout à

-est-ce Félix Pyat,-héros de la commune,-que, pour le comparer à Achille, on a d? ch

λλευ? [Podas o

x a récemment ramené le parti soi-disant r

mme gêne on

ulez faire; mais pourquoi tan

'une statue, tandis que, si on l'avait lu et compris, vos ancêtres,

ues Rouss

gitations intestines que le démocratique, parce qu'il n'y en a aucu

equel également il n'y e?t pas eu assez de lanternes pour l'accrocher, si on l'avai

l dans l'Encyclopédie, il faut supposer u

manquaient pas de se rendre populaires par les ass

faut pouvoir exiler Aristide, parce que ?a ennuie de l'entendre appeler le Juste; Alcibi

ez le suffrage universel, qui est le fondement et le prétexte de votre gouvernement; vous attaquez la liberté de la presse,-l'arche sainte quand vous n'étiez

?, vous chicanez, vous faites des procès qui vous perdent si vous les perd

énéral ne mette pas cette phra

icus

s engagés, je vais, même dans cette voie, vous donner des

t rien dire, et auxquels vous avez donné deux fois le temps de br?ler ou de mettre en s?reté les papiers, ?pièces?, etc., qui pouvaient les trahir.-Vous a

coupables; car c'est lui qui n'est que leur complice et qui n'

s les dénoncer; mais il est bien convenu que vous

on contre le général Boulanger est la

entative d'embauchage et

ministère dans lequel ils l'ont fait entrer.-Je ne vous dis pas leurs noms, parce que je n

t manqué, pour sortir de la foule des généraux. Un nom sans passé, sans illustration, et ils l'ont choisi exprès dans ces conditions, parce qu'un nom plus éclatant par lui-même, Mac

umeau, et se sont mis à souffler de tous leurs poumons pour l'enfler et le grossir; ils lui ont permis, en l'aidant même

néral par ses coministres, embauchage des soldats

e n'ai pas ou? dire que vous vo

ent et sottement: les Floquet, les Freycinet, les Lockroy,

autre pantin de baudruche qu'ils ont en vain soufflé de leurs po

qui va discourir et péror

orité de la Cham

i me semblez conduire l'affaire avec plus de passion ou

coupables. J'espère que vous me sau

sais sur cette affaire; je ne vous

hose et du nouveau, je m'empr

r, avec tous les sentiments q

serv

.