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Le dernier vivant

Le dernier vivant

Author: Paul Feval
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Chapter 1 1

Word Count: 1683    |    Released on: 30/11/2017

vai Lucien-Bureau

ant de répugnance à parler que moi à interroger,-l'affreux malheur dont la vie de Lucien Thibaut était a

arre, car j'étais son meilleur camarade

se de Lucien du matin au soir, et ne faisant pas autre chose

lorsqu'on m'indiqua le bureau de M.

it une certaine quantité de spécialités ou providences. Il y a le théatre du Palais-Royal et ses annexes

cialité des renseignements. Il était

n, dont les derrières donnaient sur la toiture vitrée du pa

rquable et d'une fra?cheur vraiment triomphante. Elle portait robe de soie et c

ais gai, d'une servante-ma?

Le patron est là. Ceux du gouvernement ont du temps pour déjeuner à la fourchette et le b

ment où j'allais répondre, et

tends les renseignements, sont censés gratis, mais vas-y voir! Rien sa

te intérieure et cr

veau qui n'est pas encore ve

tron?, elle me poussa au travers d

llard d'une quarantaine d'années, qui faisait

un pantalon de drap noir, abondamment crotté. Ses larges et forts souliers, non moins maculés de boue, étaient commodéme

antesque, reposait avec coquetterie sur se

à son avantage. Je lui trouvai l'air par moitié d'un souteneur de libres penseuses, par mo

ers toute ronde ouverte, comme pour remplir convenablement l'énorme espace que la brièveté du nez laissait au développement du menton, tout cela aurait poussé au comique ultra-bourgeois et même un peu à la caric

isot de Méricourt aura

e un charlatan très déterminé

t petit, mais quand il se leva pour me recevoir, je vis qu'il était de bo

er assez compact qui était devant lui sur la table, chargée de paperasses en désordre. Si vos journées, à vous, ont plus de vingt-quatre heures, mes sincères com

et comme je ne comprenais pas sa

s honorables amis ou clients qui vous envoie vers moi. Je p

la tranche formait un escalier alphabé

urut son bureau, qui était une chambre assez grande, mais basse d'étage,

deux consoles, ébène et écaille, toutes fleuries de pierres précieu

deux c?tés de la cheminée, je vis, non sans surprise, deux Théodore

son livre: c'est un client qui doit être con

lle Geoffr

Louaisot avec un signe de tête a

, s'il vous pla?t, interro

our y inscrire mon nom, mais sa plume, chargée d'encre, resta s

ion exige de la consc

ume g

Monsieur! continu

le livre

ssemblerait à n'importe quel métier.

me prêteriez votre aide pour trouver l'adr

ganisation de mes bureaux. Pour les personnes décédées, j'indique non seulement

il plus... mais très certainement ancien jug

i-même qui avait troublé un instant le calme olympien de sa physionomie, au moment même où il venait de me laisser entrevoir la toute-puissance de son organisation. Il s'agita sur son fauteuil, piqua du doigt l'armature de ses lu

autres

nce et qui contenait toutes les indicat

temps que de raison à pren

nner très bas, de fa?on à ne point manque

dirais-

ause mon

bouche s'arrondissait comme pour lancer un vigoure

le papier

us conna?tre l'adre

dre sur mes traits, car

tant de peine à trouver ce monsieur, depuis le temps, c'est qu'il se cache, hein? Toutes les probabilités portent à le croire. Or, en principe, il a le droit imprescript

e à moi reculer les bornes de la délicatesse, en lui ten

it ainsi

her Ge

ns tout de suite ou écris-moi un mot qui me dise où je pour

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