Les casseurs de bois

d?t de son intérêt aux yeux de la foule, soit que l'allure de son hélice et de sa marche semblat trop lente aux regards blasés, il évoluait da

au pesage, un mécanicien assis au

vissé le ciboulot, pour regarder ?a... A

vol. Elle en éprouva quelque dépit. Ces chauffeurs ne se doutaien

légant Parnell-que sa petite sagesse tenait en observation et qui ne se doutaient mêm

ce, se balan?ait sous son hangar, en lisière de l'aérodrome. Il craignait le vent. Ma

r à Popette. Et, depuis, il s'empressait, faisait les honneurs de son dirigeable toujours prisonnier, de la nacelle

it levé au ciel ses petits bras courts: ?Ah! cette enfant?. Et, rencognée au dernier rang des banquettes, contre le mur du fond, à l'abri des courants d'air, elle tricotait avec résignation des chaussons de

s et de silhouette. Un type dans le genre de Rémy Parnell, en somme. Un passionné de ciel, qui ne comptait plus ses ascens

des risques équivalents? N'était-il pas gracieux, ce grand squale doré qui nageait dans l'azur? Et Popette enrageait. Mais, en descendan

uis la fatale aventure du brassard, où il avait senti sur son épaule la lourde main de la justice, il n'osait plus s'aventurer tout seul sur la pis

be de sa jambe. Un maillot lui moulait le torse. Sur son col immaculé, sa cravate aux pointes envolées répandait des couleurs délicates et vives de fleur ou de papillon. Et dans la pénombre projetée sur son visage p

e rapide, allongée, courut sur le sol. Presque au

'là la sa

ent baptisé le dirigeable. Popette s'ir

. Savournin prit congé de Popette, s'élan?a lestemen

Il planait à la même altitude. Et le spectacle était nouveau, de cette course entre le p

r de piste, juste à hauteur du champ d'essor, qu'ils se rejoignirent. D'un élan irrésis

x, t'as vu s'il a

gné la Coupe des Aéronats. Auréolé de son exploit, il vint chercher la louange de

vous reconduire à la ville av

oiture de Savournin, qu'il conduisait avec sa virtuosité d'ancien coureur de vitesse. Justement, le gai pi

le, promis à

geait malicieusement au mot de l'ouvrier une fo