icon 0
icon TOP UP
rightIcon
icon Reading History
rightIcon
icon Sign out
rightIcon
icon Get the APP
rightIcon

Mon amie Nane

Chapter 6 No.6

Word Count: 1578    |    Released on: 30/11/2017

-midi e

natura in stu

simum fac

AIUS in E

e sais quoi, i

?ne à quelque

ons destiné. Ne

e M. de M*****,

, un politic

'Académie Fran

quoi, vo

ous le savez, Nane, que se rencontre l'aristocratie de la pensée; comme, dans les bars, celle de la naissance. Et ces Messieurs auraient-ils noué partie d'épaissir, à leur jargon, ce peu de cervelle qui est la v?tre, qu'on s'imagine mousseuse et candide, pareille à ce

sé? Et sur mon ame, ce meuble est épris de vous. Pareille à la brume délicate qu'un soir d'ao?t suspend sur les eaux, voyez cette buée qui le voile, tant il s'émeut, dès que vous surgissez devant lui parée de vos seuls colliers; aussi nue et moins rigoureuse qu'une Vérité mathématique. Mais vous, Nane, vo

t de nouveau vous êtes charmante. Restez-le un moment ainsi, voulez-vous? Non, vous préférez aller au Louvre, voir les nouveaux tableaux dont vous ont parlé ces gens. Et il est de fait que dans la rue, et ?en plein vingtième

andalouse; outre qu'elle plaque si exactement au tablier qu'on conna?t du premier coup d'oeil le module de vos nobles jambes, cette double colonne d'un marbre veiné d'azur, dressée par quelque die

er au peuple, par ce symbolisme ingénieux, que c'est un chapeau d'Intellectuelle. Mais au fond c'est si fatigant de penser. Et quand vous vous mettez à chercher des idées originales au fond de votre ?mentalité?-tel un enfant

voilette, ni vos gants. évitez même que ceux-ci ne soient de la même main; ou du moins de ne vous en apercevoir qu'en voiture, à seule fin de me les envoyer alors chang

nds-flanquées de leurs tristes époux. Et des Allemandes vêtues... ah vêtues comme les dames d'Hildburghausen; sans omettre ces singuliers maris à lunettes, coiffés de vert, qu'elles ont.-Quelques Parisiens, aussi, rares comme la véritable amitié. Pour ne rien dire de ces provinciaux ahuris, dont parla j

voix lente autour des bouches de chaleur; ou bien assis en brochette, comme des oiseaux des ?les, sur ces banquettes rouges dont il semble que la peluche soi

n, qu'il fait trop sombre. Mais c'est toujours comme ?a, au Salon Carré. Les tableaux n'y sont pas pour être vus. Ils se reposent, et, pour un peu, on leur mettrait des housses.-Et ?a? ?a c'est les noces de Cana,

ser par les baguettes. Vous devriez pourtant aller dire un petit bonjour, là-bas, à cette Mistress Angerstein en mousseline blanche, que peignit Lawrence auprès de son rouge mari. Ce n'est pas au moins que j'aime la peinture anglaise; mais cette dame, par ses regards sin

ans en para?tre étonnée, tout cet or de soleil couchant qui poudroie à travers la Galerie d'Apollon,

er. Il y a là un horizon gris ardoise avec trois oiseaux blancs qui fait songer à vos yeux quand vous êtes en colèr

nt, don de S.A.S. le Khédive. Tandis qu'elle s'obstinait à les traiter de ?vieilles baignoires?, la salle spacieuse et grise, où méditent tant de dieux de granit, fut envahie soudain par plusieurs petites Anglaises, danseuses de music-hall ou de cirque, qui chantaie

Claim Your Bonus at the APP

Open