La guerre et la paix, Tome II
r d?ner seul. La comtesse a du monde qui m'est désagréable. Bu et mangé avec modération, copié après d?ner des documents nécessaires aux frères. Le soir, descendu
ille. Seigneur tout-puissant, a
s sept colonnes et des sept marches du Temple, des sept sciences, des sept vertus, des sept vices et des sept dons du Saint-Esprit. Frère O. très éloquent. Ce soir a eu lieu la réception. La nouvelle organisation du local a contribué à la beauté du spectacle. Boris Droubetzko? a été re?u, j'ai été son parrain. Un étrange sentiment me bouleversait pendant notre tête-à-tête, et les mauvaises pensées m'assaillaient: je l'accusais, en se faisant affilier à notre ordre, de n'avoir d'autre but que d'obtenir la faveur de nos frères puissants dans le monde. Il m'a demandé à plusieurs reprises si N. et S. étaient de notre loge (ce à quoi je n'ai
ndu, je me suis faché, et je lui ai répliqué par des choses désagréables et grossières. Il s'est tu, et je ne me suis rendu compte de ma conduite que trop tard. Je ne sais jamais me contenir avec lui; la faute en est à mon amour-propre,
éclat surprenant. Re?u aujourd'hui même une lettre de lui sur les devoirs du mariag