Les femmes et les livres
?tel de Rambouillet dont nous venons de parler, nous rencontrons, pa
ieu, mariée en premières noces à M. de Combalet, sur laquelle cette mauvaise langue de Tallem
alet n'avait point été consommé, et le poète Dulot composa cette anagramme
femmes et craignoit le scandale. Sa nièce estoit belle, et on ne pouvoit trouver estrange
de Marie de Médicis, femme de Victor-Amé
e, de la lecture des romans principalement, et il lui survint à ce propos une ave
lus utile. Au lieu de ce livre si utile et profitable, il lui apporta un autre roman moins honnête, et où, par précautions, il y avait ?des marques? aux endroit
aussit?t le saint homme. Elles viennent
sir de prendre connaissance, et il dit à la mère de Mlle de Scudéry qu'elle pouvait laisser lire à sa fille tout ce que voudrait celle-ci,
et volumineux ouvrages, Ibrahim ou l'Illustre Bassa (1641, 4 vol.), Artamène ou le Grand Cyrus (1649-1653, 10 vol.), Clélie, histoire roma
le Cyrus et Clélie étaient des chefs-d'?uvre, et qu'ils se complaisaient dans la lecture de ces interminables romans, si délaissés et oubliés aujo
le samedi, une réunion littéraire qui fut célèbre, et co
de Scudéry qu'il est pour la première fois question (on le suppose du moins) de CABINETS DE LECTURE en
Jacquette (ou Jaquette) Guillaume, femme de lettres du dix-septiè
de plus grands prix que ceux des plus renommés historiens? Son libraire a taxé à une demi-pistole
ller, a parlé, lui aussi, dans son Vieux-Neuf, de la location des livres par les libraires. Il n'en fait remonter l'origine qu'
nri IV et de Marie de Médicis, épouse du roi
N, princesse de Guéméné
vive passion, et qui a donné lieu à la lég
a campagne; que, bient?t après, y ayant appris qu'elle était tombée malade, il était accouru, et qu'étant entré brusquement dans son appartement, le premier objet qui y était tombé sous ses yeux avait été sa tête, que les chirurgiens, en l'ouvrant, avaient séparée; qu'il n'avait appris sa mort que par là; et que la surprise et l'horreur d
recevoir les sacrements, et fut présent à sa mort. La vérité est que, déjà touché et tiraillé entre Dieu et le monde, méditant déjà depuis quelque temps une retraite, les réflexions que cette m
Bourbon, fille de Henri II de Bourbon, princ
a sur la société du dix-septième siècle ont marqué sa place parmi les femmes célèbres de s
rre du siècle,? et le prince de Conti, ?prêtre et bossu [140]?, des relations incestueuses. ?Les deux gar?ons naquirent amoureux de leur s?ur, écrit Michelet [141]. Condé, éperdument, jusqu'
d'Argenson [142], d'une aventurière surnommée la Princesse, qui se préte
rlotte de Caumont de la Force
aréchal de France et
es livres nouveaux, en toutes langues, sur toutes sortes de sujets; je n'excepte ni romans ni satires; surtout s'il y a des livres de chimie, faites-m'en part au plus t?t.? Elle adressait à Heinsius les mê
es de chimie?, dont elle vient de parler. Elle professait, nous apprend Gui Patin [145], un vrai culte pour Pétrone, ?qu'elle mettait au
uidem, at subturpiculum libellum). Mais Christine, qui voit tout, l'a vu; elle va prendre hardiment le livre jusque sous le drap, et, l'ouvrant, se met à le parcourir de l'?il avec sourire; puis, appelant la belle de Sparre, sa fille d'honneur favorite, elle la forc
Il y a à la bibliothèque du Collège romain, à Rome, plusieurs livres an
r lors de son voyage à Paris, en 1654,-mérite de ne pas être oubliée ici. Voltaire lui ayant été présenté par son parrain, l'abbé de Chateauneuf,
s cavalièrement et indiscrètement sa bienfaitrice. Da
st-à-dire à plus de quatre-vingts ans), elle était sèche comme une momie. Il est vrai qu'on lui présenta l'abbé Gédoyn... J'allais quelquefois chez elle avec cet abbé,
mbassadeur à Constantinople. Chateauneuf avait eu, en effet, la fantaisie de coucher avec elle vingt ans auparavant. Elle étai
plut?t qu'un autre? lui
alors soixante ans j
bé de Chateauneuf, mon bon parrain, à qui je dois mon baptême, m'a r
n'y a point de mal à faire ce qu'elle fait, fait profession de ne rien croire, se vante d'avoir esté fort ferme en une maladie où elle se vit à l'extrémité, et de n'avoir que par biensé
qui disait ?qu'elle rendait graces à Dieu tous les soirs de son esprit, e
ps une très judicieuse constatation: ?La
, en maint endroit de ses lettres, Mme DE SéVIGNé (1626-1696), et toujours de la p
position! On est au-dessus de l'ennui et
reux d'aimer à
nd il verra ce que c'est que l'ignorance à un homme de guerre, qui a tant à lire des grandes actions des autres, il vou
scal de moitié à tout ce qui est beau... Nous lisons aussi l'histoire de France depuis le roi Jean; je veux la débrouiller dans ma tête, au moins autant que l'histoi
lui pincer le nez pour lui faire avaler, je la plains. Pour les beaux livres de dévotion, si elle ne les aime pas, tant pis pour elle; car nous ne savons que trop que même sans dévotion on les trouve charmants. A l'égard de la morale, comme elle n'en ferait pas un si bon usage que vous, je ne voudrais point
n go?t, je trouvais qu'un jeune homme devenait généreux et brave en voyant mes héros, et qu'une fille devenait honnête et sage en lisant Cléopatre. Quelquefois il y en a qui prennent un peu les choses de travers; mais elles ne feraient peut-être guère mieux, quand elles ne sauraient pas lire: ce qui est essentiel, c'est d'avoir l'esprit bien fait; on n'est pas aisée à gater; Mme de la Fayette en est encore un exemple. Cependant il
EMOISELLE (1627-1693), une des plus originales figures du dix-septième
elle fait jouer chez elle le Tartuffe, mais elle re?oit aussi l'abbé Cotin. ?J'aime les vers, de quelque nature qu'ils soient?, déclarait-elle. Elle se recommande à nous principaleme
rosse de Mlle de Montpensier se trouvant pris un jour dans un embarras de voitures,
.. d'un pauvre homme qui a per
ue?? demanda la Gr
lbert, s?ur du ministre J.-B
COLBERT (XVIIe siècle), figure auss
Clémence de Maillé, femme du G
re des Dominicaines de Mo
es qui lui ont appartenu, écrit Ernest Quentin-Bauchart [167], présentent du moins le grand avantage d'avoir été reliés par un des ma?tres du temps,
TOUR, demoiselle de Bou
RICHE, femme de Lou
ntin-Bauchart [169], et sa bibliothèque, qui contenait de très jolis volumes à ses armes, mais à laquelle il est vraisemblable qu'elle ne toucha jamais, fut celle q
640-1696 ou 1698), s?ur de Louise-Charlotte de la Tou
plus célèbre par ses relations avec Lo
culier, mais qui étoit délicieux et qu'elle communiquoit si bien par l'habitude, que ses nièces et les personnes assidues auprès d'elle, ses femmes, celles que, sans l'avoir été, elle avoit élevées
Veuve de Jacques Radziwill, prince Zamoyski, elle
rine-Madeleine de Verth
uchesse d'Orléans, belle-s?ur
en détail du charme et de toutes les qualités d'esprit
reine sa mère qui se trouva auprès d'elle pendant sa disgrace. Cette reine s'appliquoit tout entière au soin de son éducation, et, le malheur de ses affaires la faisant plut?t vivre en personne privée qu'en sou
races; les charmes étoient répandus en toute sa personne, dans ses actions et dans son esprit; et
esprit. Retirée au couvent des Carmélites du faubourg Saint-Jacques, elle a laissé des Le
646-1714), amie et protect
tes sortes de livres, pourvu qu'ils soient bons?, et, sur le point de terminer sa lettre par un éloge de Mme
rtager, mais no
rateur, quand c
t pas, en semb
héros, deux auteur
15), Anne de Souvré, femme du m
de Louis XIV, femme vénale et sans scrupules, dont Mme de Caylus, dans se
ntérêts et de la grandeur de sa maison, tout ce qui ne s'opposoit pas à ses vues lui étoit indifférent... Pour dire la vérité, je crois que Mme de Soubise et Mme de Montespan n'aimoient guère plus le roi l'une que l'autr
t-Simon
stante, qu'elle n'abandonna jamais, sans aucun autre mélange, avec de l'eau quelquefois rougie, et jamais elle ne fut ........ comme les autres femmes, de peur de s'échauffer les reins et de se rougir le nez. Elle avoit eu beaucoup d'enfants, dont quelq
fille d'édouard de Bavière et d'Anne
le, une espèce de fou, dont Saint-Simon décrit longuement et magn
ux, soup?onneux, inquiet sans aucun relache, plein de manèges et d'artifices à découvrir et à scruter tout..., colère et d'un empor
it suivre à la piste, même de loin. Toutes ces choses n'empêchèrent pas M. le Prince d'en être jaloux jusqu'à la fureur, et jusqu'à sa mort. La piété, l'attention infatigabl
, mais douée de beaucoup de vertu, de piété, de douceur et de patience, dont elle eut à fair
V, alors dans sa soixante-deuxième année, et fameux par tant de surprenantes et folles aventures, ?la figure la plus étrange
t loin d'être à la hauteur de sa science. ?Son livre De la corruption du go?t, écrit contre La Motte à propos de son imitation en vers de l'Iliade et de son Discours sur Homère, est un modèle de mauvais style..., et d'inintelligence des questions qui se présentent,? remarque B. Jullien, dans ses Thèses de critique [190
part de ses amis à un repas qu'elle prépara elle-même d'après les formules anciennes. Faisant contre mauvaise chère bonne contenance, après s'être efforcés de simuler une certaine satisf
femme de Philippe Ier, duc d'Orléans (Monsieur), frère de Louis X
traduite-car Madame sut toujours fort mal le fran?ais et employait de préférence sa langue maternelle-par l'érudit
d'elle plusieurs por
et petite au dernier point sur tout ce qui regardoit ce qui lui étoit d?. Elle étoit sauvage, toujours enfermée à écrire, hors les courts temps de cour chez elle; du reste, seule avec ses dames; dure,
ageuse franchise, s'est
ongue figure; je suis très petite, grosse et épaisse, le corps et les jambes courtes; en somme, je dois être une vilaine petite laideron. Si je n'avais un assez bon caractère, personne n'aurait pu me
tre femme: ?J'aurais bien
ue jour plusieurs pages de la Bible, et elle revien
les chapitres 14 et 15 de saint Matthieu, et 3 et 4 de saint Jean. Ce m
princesse Palatine, dans une de ses lettres, si abondamment assaisonnées de g
écolier terrible, faisant le désespoir des bons Pères, et qui, toute l
le prie de lui peindre deux saints sur les deux fesses, à savoir saint Ignace à droite, saint Fran?ois-Xavier à gauche; ce que fait le peintre. L'au
ois-ci vous a
pondent que les supplications n'y feront rien.
itié de moi et faites quelque miracle e
a culotte, et, comme ils lui lèvent la
veur que je suis s?r que
r?oivent les deux sa
nous croyions un f
priment des baisers sur le postérieur,
, Marie-Fran?oise de Bo
c Lalanne. Elle donna le jour à vingt et un enfa
aule-Fran?oise Marguerite de G
'ils s'y promenoient tous deux, des jardiniers les suivoient à distance pour effacer leurs pas avec des rateaux... La duchesse de Lesdiguières n'y couchoit jamais (à Conflans), mais elle y alloit toutes les après-d?nées, et toujours tous
assemblé une belle bibliothèque dan
illaume, comte palatin DE NEUBOURG, femme de Léop
èse Le Rebours, femme du secrétaire d'ét
marquise de Chamillart avait rassemblé
le subissait l'influence et qui lui avait inculqué s
ement pour toute décoration extérieure que son chiffre: deux C entrelacés, frappés en or aux quatre coins des p
de Mme de
femme du marquis DE DR
duc DE LA FEUILLADE, maré
emme du duc DE DURFORT DE
d'elle un vivant, et vigoureux, et superbe portrait, où nous voyons que cette grande
elle ne crut jamais que la France ni le roi p?t se passer de son père. Elle ne connut aucun devoir, pas même de bienséance. La chute de son père ne put lui en apprendre aucun, ni émousser la passion du jeu et des plaisirs. Elle l'avouoit tout le plus ingénument du monde, et ajoutoit après qu'elle ne pouvoit se contraindre. Jamais personne si peu soigneuse d'elle-même, si dégingandée: coiffure de travers, habits qui tra?noient d'un c?té, et tout le reste de même, et tout cela avec une grace qui réparoit tout. Sa santé, elle n'en faisoit nul compte; et, pour sa dépense, elle ne croyoit pas que terre p?t jamais lui manquer. Elle était délicate, et sa poitrine s'altéroit. On le lui diso
NORE D'ESTE-MODèNE
UVILLIERS, fille de Colbert, femme du duc de Beauvi
tte-éléonore-Madeleine de la Mot
ousa le roi d'Espagne Charles II, possédait de beaux livres, qu'elle f
du maréchal de Vivonne, abbesse de
XIV et de Mlle de La Vallière, qui épousa Louis-Armand de Bourbon, prin
e Louis XIV et de Mme de Montespan, qui épousa Philippe, duc d'Orléans, et eut ainsi pour b
BIGNON DE VERTHAMON
e de Volupté, fille du duc de Luynes, et ma?tress
ue du Cherche-Midi, moitié dans son chateau de Meudon, une des plus belles bibliothèques de son temps, riche surtout en pièces de thé
hoix exquis?, dit Joannis Guigard [216] et, pour la plu
les lisait, et son go?t pour l'étude: un exemplaire de l'ouvrage de Lenglet-Dufresnoy, De l'usage d
ait composé
ns une pai
ame de
plus gra
adis en ce
Ss, fille de Jean, comte d
e Villette de Mursay, nièce à la mode de Bre
euve, qui lui a consacré un article [221], l'a intitulé: Mme de Caylus et de ce qu'on appelle URBANITé, confirmant un jugeme
le légitimée de Louis XIV et de Mme de Montespan, femme
s livres, et elle avait rassemblé u
oiselle de Nantes eut plusieurs enfants, dont cinq filles, qu
ieuse à Fontevrault, puis abbesse de Sa
CHAROLAIS; mariée, en 1713, à Louis-Arma
liothèque mérite à bon droit d'être recherché, écrit M. Maurice Tourneux [225]. On y remarque, au milieu d'une foule de bons livres, un recueil de pièces de l'ancien théatre fran?ais en 50 volumes in-4
MADEMOISELLE DE CL
BRIELLE, dite MADEMOISELLE DE VE
E dite MADEMOISELLE DE
Marguerite de Saint-Amant ou
al ou gouverneur de la Provence, avait re?u les prénoms de Louis-Provence: on
age, bien élevée, raisonnable au dernier point [229].? Au bout de quelques mois, comme il advient souvent dans ces union
s armées du roi, fut l'ami de Saint-Simon, et voici en quels termes
n faisait ses excuses; et avec ses minauderies en radoucissant ses petits yeux, disait qu'il fallait bien de temps en temps du fumier sur les meilleures terres. Elle se savait un gré infini de ce bon mot, qu'avec raison chacun trouva impertinent, quand on a fait un mariage, et le dire entre bas et haut devant sa belle-fille. Saint-Amant, son père, qui se prêtait à tout pour leurs dettes, l'apprit enfin, et s'en trouva si offensé qu'il ferma le robinet. Sa pauvre fille n'en fut pas mieux traitée; mais cela ne dura pas lo
gent Philippe d'Orléans, et femme de Léop
femme de Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, fils
our littéraire, où Fontenelle, Malézieux, La Fare, Sainte-Aulaire, Cha
a politique; et l'emblème dont elle timbrait ses livres était aussi le ralliement de ses alliés, les chevaliers de la Mouche à miel. Sur ses livres, en effet, étaient frappées des abeilles d'or, avec, autour de leur ruche, cette devise, t
de Moras, femme de Louis-Antoine de Brancas,
prenait 750 nos, fut vendue, à Paris, peu après la mort de
s sa vieillesse, de très piquants Mémoires, qui ont été publiés pour la première fois, en 1802, par son p
m?urs n'embarrassait guère. Saint-Simon nous a laissé d'elle et de son digne époux
emment quelquefois et jusqu'à elle-même devant le monde, et l'un et l'autre sans le moindre embarras. Mais elle étoit méchante, adroite, insinuante, intéressée comme une crasse de sa sorte, ambitieuse, avec cela artificieuse, rusée, beaucoup d'esprit d'intrigue, mais désagréable plus encore que
uivante peut aider à se faire une idée: ?Hier, M. de Richelieu, raconte d'Argenson [239], donna un grand souper à sa petite maison, par delà la barrière de Vaugirard. Tout y est en galanteries..., les lambris... ont des figures fort immondes. L
E VIEILBOURG, Louise-Fran?oise
assionnée pour les hautes spéculations de l'esprit. Elle avait colligé un superbe
1735; le catalogue, comprenant 1043 nos, avait été dressé et réd
de Beringhen, femme d'Emmanuel-Armand, marquis d
e, et dont le catalogue comprenait 184 articles, fut
ie-Angélique Andrault de L
IèRE, Marie-Thérèse de
la Miséricorde. La duchesse de la Vallière eut deux enfants, dont l'u
E, Marie-Adéla?de de Sa
ables... Douce, timide, mais adroite, bonne jusqu'à craindre de faire la moindre peine à personne, et, toute légère et vive qu'elle étoit, très capable de vues et de suite de la plus longue h
ELIEU, dite Mademoiselle de Fronsac, prieure perpétuelle des
rie-Madeleine de Lamoignon, femme d
femme du comte de Toulouse, fils légitimé de Lo
T, Hélène, princesse de Co
Marguerite-Armande (Mademoiselle de Fronsac) précédemment nommée, Marie-Gabrielle-élisabeth du Plessis de Richelieu a
, en 1714, à Victor-Amédée de Savoie,
es, pair et maréchal de France, religieuse au co
ISE DE DIENNE (1
èse, prince de Parme, mariée, en 1714, à P
e-élisabeth, fille a?née du Régen
esse. Quoique morte très jeune, et malgré sa dissipation et ses débauches,
, aimait beaucoup les livres; mais, si l'on en croit les Mémoires de la princesse Palatine, sa grand'mère, elle n'eut guère le temp
hilippe II d'Orléans, ont été cl
MADEMOISELLE DE CHARTRES, seco
de Jésus-Christ?, et c'est à son sujet que le Rég
ne, devint veuve en 1724, puis regagna la France en 1725, où elle se plongea dans une profonde dévotion, ?
E BEAUJOLAIS (1714-1734), morte très jeune et sans alliance, a été,
E DE BOURBON-CONTI, dite MADEMOISELLE
née Marie de Vichy-Cha
Paris, Calmann-Lévy, 1877; etc.) est des plus intéressantes pour l'histoire des m?urs et des lettres au dix-huitième siècle. Devenue av
res du matin, et cela dure souvent jusqu'à onze heures ou midi; les insomnies
plus souvent qu'à midi que j'attrape le sommeil;
entiments apparaissent fréquemmen
n'a pas à craindre d'être assassiné, mais
et la vanité de tout le monde; il n'y a presque personne qui
Cela revient à peu près, Madame, à ce que vous me dites s
n'avait ni tempérament ni roman, ce qui ne l'empêc
s du lundi [269], fait grand éloge du style et de
sée... Elle est avec Voltaire, dans la prose, le classique le plus p
enriette-Antoinette de
e Agnès Berthelot de Pl
qu'elle domina bient?t entièrement. Elle était belle, très ambitieuse, et quand son amant fut nommé premier ministre après la mort du Régent, elle exer?a un pouvoir absolu, dont elle ne fit guère usage que pour satisfaire ses passions et sa rapacité. Dame du palais de Marie Leszcz
enriette-Antoinette de
CHY, Charlotte des
?t des réunions littéraires, et ?prestoit son logis avec un extresme plaisir pour de telles assemblées?. Elle s'avisa même de créer chez elle ?une certaine académie, où tour à tour c
résident des trésories de France, à Montpellier,? et qui se plaisait à berner et mystifier les gens, ?traita des diverses fa?
VALETTE, abbesse à Me
'Estrées, mariée, en 1597, à Georges de Brancas, duc
t un certain jour parler à elle. Elle parla à tous en particulier, leur avoua qu'elle n'avoit point d'argent, mais qu'elle avoit, en deux ou trois lieux qu'elle leur nomma, des magasins de pommes à cidre pour dix ou douze mille escus; qu'elle leur en donneroit pour les deux tiers de leur debte, et une promesse pour le reste payable en tel temps. Elle disoit cel
mme du Grand Dauphin, fils de Louis
ux, aimait les lettres, et
CAMUS DE NICOLAI
LNES, religieuse à l'Abbaye-aux-Bo
ligieuse, abbesse de Saint-étienne de Reims,
raqueau, dont le mari était ma?tre
ne Voysin, mariée, en 1674, à Chrétien-Fran?
e des inscriptions, en 1704. Comme son père, il était lié avec les beaux esprits du temps, et c'est à lui que Boileau a adressé s
e de Sainte-Croix de Poitiers de
NT, Marguerite de Lalai
T, née Néthine (X
DEVILLE, Marie-Catherine
une fort belle collection
USSY (XVIIe
INT-JUST, née Mainde
la ville de Lyon en 1658
urfort, mariée, en 1683, à Jean-Louis de
T, Marie-Jeanne Guyon
RENS, abbesse des Bénédic
à Louis VII de Rohan, prince de Guéméné,
ULD, femme de l'auteur des M
LéRIS (XVIIe
e Nassau-Dillenbourg-Siegen, général de la
uc Henri II de Lorraine, marié
dech Thévenot, garde de la Bibl
t de manuscrits précieux. Il tenait, dans sa maison d'Issy, des réunions périodiques, où chaque invité rendait compte
nobiliaire) (1633-1667), qui fut aussi un infatigable voyageur et qui m