icon 0
icon TOP UP
rightIcon
icon Reading History
rightIcon
icon Sign out
rightIcon
icon Get the APP
rightIcon

Les femmes et les livres

Chapter 6 No.6

Word Count: 1576    |    Released on: 06/12/2017

bibliophiles des seizième, dix-septième et dix-huitième siècles, en cite environ cent vingt et examine leu

de grandes dames ont eu des livres aux siècles passés, mais presque toutes en ignoraient le contenu, et le titre de bibliophile ne leur est guère appl

igence humaine à la fa?on des d'Hoym, des La Vallière, des Charles Nodier, et autres bien connus, anciens et modernes: non. Les exigences du temps, les usages de la société d'alors, imposaient en quelque sorte aux femmes, et même aux hommes du monde, la nécessité d'une bibliothèque. On

ublier, nous continuerons, de notre c?té, à donner à ces princesses ou patriciennes ce

st LOUISE DE SAVOIE (1476-1531), régente de France e

bien que sa nièce MARGUERITE DE SAVOIE (1523-1574), et sa petite-nièce MARGUERITE DE VALOIS (1552?-1615),

ers moins amusants;-l'autre Marguerite, nièce de la précédente, s?ur de Henri II, et qui devint duchesse de Savoie, très spirituelle, faisant aussi des vers, et, dans sa jeunesse, la patronne des n

eil, avec cette légende: Non inferiora secutus (ne s'arrêtant pas aux choses de la terre) [71], avait coutume de garder près d'elle un secrét

sent, tant en lettres sainctes qu'humaines; et quand elle a entrepris à lire un livre, tant grand et long soit-il, elle ne le laisse ni s'arreste

ipal et le premier de l'ambassade, qui fist l'harangue pour tous, et en latin, car il estoit un savant et suffisant prélat. La reine lui respondit si pertinemment et si éloquemment, sans s'aider

hez elle Vénus-Uranie [75], ce q

nairement quatre savants hommes près d'elle, auxquels elle proposait, au commencement du repas, quelque thèse plus ou moins sublime ou subtile, et, quand chacun ava

t ce qu'on lit à son sujet dans les Mémoires du cardinal de Richelieu: ?Elle étoit le refuge des hommes de lettres, aimoit à les entendre parler; sa table en étoit toujours e

sonne plus encline à la galanterie. Elle avoit d'une sorte de papier dont les marges estoient toutes pleines de trophées d'amour; c'estoit le papier dont elle se servoit pour ses billets doux. Elle p

ù estoit le c?ur d'un de ses amants trespassés; car elle estoit soigneuse, à mesure qu'ils mouroient, d'en faire embaum

ne falloit, et ses manches à proportion... Elle estoit coiffée de cheveux blonds d'un blond de filasse blanchis sur l'herbe; e

ue homme de lettres. Pitard, qui a escrit de la morale, e

storiette? de la reine Margo

é Salignac (Jean de Gontaut, baron de Salignac), devint, comme elle estoit encore jeune, esperdume

ue feriez-vous pour me

que je ne fiss

z-vous bie

ous me permissiez d

eux!? rep

ort laxative. Il l'avale, et elle l'enferme dans un cabinet

ecine opéra si bien que, quand on luy vint ouvri

soucis aux derniers Valois, au point que ses petits-fils faillirent enlever la couronne à Henri IV, dont elle était la grand'tante,-Antoinette de Bourbon-Vend?me posséda une bibliothèque nombreuse dont la plupart des volumes av

mme de Louis XII, roi de France. On cite deu

t; devenue veuve d'Emmanuel le Grand, roi du Portugal, elle

?née de Louis XII, reine de France pa

e que revient en partie l'honneur d'avoir

Claim Your Bonus at the APP

Open