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Le Rhin, Tome I

Chapter 10 No.10

Word Count: 1695    |    Released on: 04/12/2017

cani

pendait un cor incrusté d'étain et fait de la corne d'un buffle. Il y avait je ne sais quoi d'étrange, de vague et de lumineux dans ce visage pale qui souriait éclairé de la dernière lueur du crépuscule. Ce vieux chasseur ainsi ap

si vieux, si usé, si courbé, si cassé, avait les mains si ridées et si débiles, les sourcils si blancs et les jambes si amaigri

ez-vous? dem

, dit le vieux chasse

ua

t une nuit en c

lle

qui c

everrai

finie, au soleil levant, je te dé

ser l

rquo

est fort

B

est très

N

s êtes bi

quiète p

r, mais je suis mort de faim et de soif, dit Pé

a ceinture une gourde damasqui

is

gées qu'il se sentit ranimé. Il était jeune, fort, alerte, puissant. Il avait dormi

, chassons toute la nuit, je le ve

uit passée, au

de votre promess

laisser mourir ici de faim, de lassitude et de misère, t'abando

pin. C'est dit, au sole

asse! cria le vieux seigneur, fais

, et Pécopin vit qu'il était bossu. Puis il fit

avaliers vêtus comme des princes et montés c

ous étaient armés de couteaux ou d'épieux; lui seul avait un cor. La nuit était tombée; mai

e ma?tre, ubi

e latin et d'espagnol f

avec impatience:-Le

es aboiements remplissaient la clair

quettes jaunes et en bas rouges, des estafiers de chenil au visag

dés sur l'échine, qui ont les jambes de même poil que les pattes d'un lièvre ou cannelées de rouge et de noir. Le choix en était excellent. Il n'y avait pas un batard parmi ces chiens. Pécopin, qui s'y connaissait, n'en vit pas parmi les fauves un seul qui f?t jaune ou marqué de gris, ni parmi les gris un seul qui f?t argenté ou qui e?t les pattes fauves. Tous étaient authentiques et bons. Le quatrième groupe était formidable; c'était une cohue épaisse, serrée et profonde de ces puissants dogues noirs de l'abbaye de Saint-Aubert-en-Ardennes, qui ont les jambes courtes et qui ne vont pas vite, mais qui engendrent de si redoutables limiers et qui chassent si furieusement les sangliers, les renards et les bêtes puantes. Comme ceux de Norwége, tous étaient de bonne race et vrais chiens gentilshommes, et ava

te meute. Tous ses appétits

uvait s'empêcher de se dire à lui-même qu'il était singulier q

Pécopin, lui tournant le dos. Pécopin alla à lui pour le questionner,

t sérieusement s'il suivrait en effet cette chasse, quand le v

r suivre de si terribles chiens,

qui était fixé au petit doigt de sa main gauche, précaution d'

e long, aux flancs bien unis, au manteau bayardant. Son cou, d'une moyenne arcade, mais pas trop vo?té, était revêtu d'une vaste perruque flottante et crépelue; sa queue bien épaisse pendait jusqu'à terre. Il avait la peau du front cousue sur ses yeux gros et étincelants, la bouche grande, les oreilles inquiètes, les naseaux ouverts, l'étoile au front, deux balzans aux jambes, son courage en fleur et l'age de sept ans. Le premier avait la tête coiffée d'un chanfrein, le poitrail d'armes et la selle de guerre. Le second était moins fièrement, mais plus splendi

pinant et toussant, et souria

a plus, et saut

selle? lui cr

dit Pé

crinière, bondit comme un tigre et enfourcha à cru la superbe bête qui tremblait de tous ses membres; puis, saisissant sa trompe à sa ceinture

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