searchIcon closeIcon
Cancel
icon 0
icon TOP UP
rightIcon
icon Reading History
rightIcon
icon Sign out
rightIcon
icon Get the APP
rightIcon

Introduced Sequel to Seduced F

Reclaiming Her Crown, One Step At A Time

Reclaiming Her Crown, One Step At A Time

Elia O'loughlin
Noelle was the long-lost daughter everyone had been searched for, yet the family brushed her off and fawned over her stand-in. Tired of scorn, she walked away and married a man whose influence could shake the country. Dance phenom, street-race champ, virtuoso composer, master restorer-each secret triumph hit the headlines, and her family's smug smiles cracked. Father charged back from abroad, mother wept for a hug, and five brothers knelt in the rain begging. Beneath the jeweled night sky, her husband pulled her close, his voice a velvet promise. "They're not worth it. Come on, let's just go home."
Modern CEOSchemingFriends to love SweetRomanceFlash Marriage
Download the Book on the App

Weimar 1850.

hopin! doux et harmonieux génie! Quel est le c?ur auquel il fut cher, quelle est la personne à laquelle il fut familier qui, en l'entendant nommer, n'éprouve un tressaillement, comme au souvenir d'un être supérieur qu'il eut la fortune de conna?tre? Mais, quelque regretté qu'il soit par tous les artistes et par tous ses nombreux amis, il nous est peut-être permis de douter que le moment soit déjà venu où, apprécié à sa juste valeur, celui dont la perte nous est si particulièrement sensible, occupe dans l'estime universelle le haut rang que lui réserve l'avenir.

S'il a été souvent prouvé que nul n'est prophète en son pays, n'est-il pas d'expérience aussi que les hommes de l'avenir, ceux qui le pressentent et le rapprochent par leurs ?uvres, ne sont pas reconnus prophètes par leurs temps?... à vrai dire, pourrait-il en être autrement? Sans nous en prendre à ces sphères où le raisonnement devrait, jusqu'à un certain point, servir de garant à l'expérience, nous oserons affirmer que, dans le domaine des arts, tout génie innovateur, tout auteur qui délaisse l'idéal, le type, les formes dont se nourrissaient et s'enchantaient les esprits de son temps, pour évoquer un idéal nouveau, créer de nouveaux types et des formes inconnues, blessera sa génération contemporaine. Ce n'est que la génération suivante qui comprendra sa pensée, son sentiment. Les jeunes artistes groupés autour de cet inventeur auront beau protester contre les retardataires, dont la coutume invariable est d'assommer les vivants avec les morts, dans l'art musical bien plus encore que dans d'autres arts, il est quelquefois réservé au temps seul de révéler toute la beauté et tout le mérite des inspirations et des formes nouvelles.

Les formes multiples de l'art n'étant qu'une sorte d'incantation, dont les formules très diverses sont destinées à évoquer dans son cercle magique les sentiments et les passions que l'artiste veut rendre sensibles, visibles, audibles, tangibles, en quelque sorte, pour en communiquer les frémissements, le génie se manifeste par l'invention de formes nouvelles, adaptées parfois à des sentiments qui n'avaient point encore surgi dans le cercle enchanté. Dans la musique, ainsi que dans l'architecture, la sensation est liée à l'émotion sans l'intermédiaire de la pensée et du raisonnement, comme il en est dans l'éloquence, la poésie, la sculpture, la peinture, l'art dramatique, qui exigent qu'on connaisse et comprenne d'abord leur sujet, que l'intelligence doit avoir saisi avant que le c?ur en soit touché. Comment alors la seule introduction de formes et de modes inusités, ne serait-elle pas déjà dans cet art un obstacle à la compréhension immédiate d'une ?uvre?... La surprise, la fatigue même, occasionnées par l'étrangeté des impressions inconnues que réveillent une manière de procéder, une manière d'exprimer ses pensées et son sentiment, une manière de dire dont on n'a point encore appris la portée, le charme et le secret, font para?tre au grand nombre les ?uvres con?ues en ces conditions imprévues, comme écrites dans une langue qu'on ignore et qui, par cela même, semble d'abord barbare!

La seule peine d'y habituer l'oreille, de se rendre compte par a + b des raisons pour lesquelles les anciennes règles sont autrement appliquées, autrement employées, successivement transformées, afin de correspondre à des besoins qui n'existaient pas lorsqu'elles furent établies, suffit pour en rebuter beaucoup. Ils refusent opiniatrement d'étudier avec suite les ?uvres nouvelles, pour saisir parfaitement ce qu'elles ont voulu dire et pourquoi elles ne pouvaient pas le dire sans changer les anciennes habitudes du langage musical, en croyant par là repousser du pur domaine de l'art sacré et radieux, un patois indigne des ma?tres qui l'ont illustré. Cette répulsion, plus vive en des esprits consciencieux qui, ayant pris beaucoup de peine pour apprendre ce qu'ils savent s'y attachent comme à des dogmes hors desquels pas de salut, devient encore plus forte, plus impérieuse, quand sous des formes nouvelles un génie novateur introduit dans l'art des sentiments qui n'y avaient pas encore été exprimés. Alors on l'accuse de ne savoir ni ce qu'il est permis à l'art de dire, ni la manière dont il doit le dire.

Les musiciens ne sauraient même espérer que la mort apporte à leurs travaux cette plus value instantanée qu'elle donne à ceux des peintres, et aucun d'eux ne pourrait renouveler, au profit de ses manuscrits, le subterfuge d'un des grands ma?tres flamands qui voulut de son vivant exploiter sa gloire future, en chargeant sa femme de répandre le bruit de son décès pour faire renchérir les toiles dont il avait eu soin de garnir son atelier. Les questions d'école peuvent aussi dans les arts plastiques retarder, de leur vivant, l'appréciation équitable de certains ma?tres. Qui ne sait que les admirateurs passionnés de Rafael fulminaient contre Michel-Ange, que de nos jours on méconnut longtemps en France le mérite d'Ingres, dont ensuite les partisans dénigrèrent celui de Delacroix, pendant qu'en Allemagne les adhérents de Cornélius anathématisaient ceux de Kaulbach, qui le leur rendaient bien. Mais, en peinture ces guerres d'école arrivent plus t?t à une solution équitable, parce que le tableau ou la statue d'un novateur une fois exposés, tous peuvent la voir; la foule y accoutume ainsi ses yeux, pendant que le penseur, le critique impartial, (s'il y en a), est à même de l'étudier consciencieusement et d'y découvrir le mérite réel de la pensée et des formes encore inusitées. Il lui est toujours aisé de les revoir et de juger avec équité, pour peu qu'il le veuille, l'union adéquate qui s'y trouve ou non du sentiment et de la forme.

En musique, il n'en va pas ainsi. Les partisans exclusifs des anciens ma?tres et de leur style ne permettent pas aux esprits impartiaux de se familiariser avec les productions d'une école qui surgit. Ils ont soin de les soustraire tout à fait à la connaissance du public. Si par mégarde quelque ?uvre nouvelle, écrite dans un style nouveau, vient à être exécutée, non contents de la faire attaquer par tous les organes de la presse qu'ils tiennent à leur disposition, ils empêchent qu'on la joue et, surtout, qu'on la rejoue. Ils confisquent les orchestres et les conservatoires, les salles de concert et les salons, en établissant contre tout auteur qui cesse d'être un imitateur, un système de prohibition qui s'étend des écoles, où se forment le go?t des virtuoses et des ma?tres de chapelle, aux le?ons, au cours, aux exécutions publiques, privées et intimes, où se forme le go?t des auditeurs.

Un peintre et un sculpteur peuvent raisonnablement espérer de convertir peu à peu leurs contemporains de bonne foi, ceux que l'envie, la rancune, le parti pris, ne rendent pas inaccessibles à toute conversion, en ayant prise par la publicité même de leur ?uvre sur toutes les ames ingénues, sur celles qui sont supérieures aux petites taquineries d'atelier à atelier. Le musicien novateur est condamné à attendre une génération suivante pour être d'abord entendu, puis écouté. En dehors du théatre, qui a ses propres conditions, ses propres lois, ses propres normes, dont nous ne nous occupons pas ici, il ne peut guère espérer de conquérir un public de son vivant; c'est-à-dire, de voir le sentiment qui l'a inspiré, la volonté qui l'a animé, la pensée qui l'a guidé, généralement comprises, clairement présentes à quiconque lit ou exécute ses ?uvres. Il lui faut à l'avance courageusement renoncer à voir le mérite et la beauté de la forme dont il a revêtu son sentiment et sa pensée, généralement appréciées et reconnues par les artistes, ses égaux, avant un quart de siècle; pour mieux dire, avant sa mort. Celle-ci apporte bien une notable mutation dans les jugements, ne fut-ce que parce qu'elle donne à toutes les mauvaises petites passions des rivalités locales, l'occasion de taquiner, d'attaquer, de miner des réputations en vogue, en opposant à leurs plates productions les ?uvres de ceux qui ne sont plus. Mais, qu'il y a loin encore de cette estime rétrospective que l'envie emprunte chez la justice, à la compréhension sympathique, affectueuse, amoureuse, admirative, due au génie ou au talent hors ligne.

Toutefois, en musique les retardataires sont moins coupables peut-être que ne le pensent ceux dont ils neutralisent les efforts, dont ils empêchent le succès, dont ils ajournent la gloire. Ne faut-il pas tenir compte de la difficulté réelle qu'ils éprouvent à comprendre les beautés qu'ils méconnaissent, à apprécier les mérites qu'ils nient avec tant d'obstination? L'ou?e est un sens infiniment plus sensible, plus nerveux, plus subtil que la vue; du moment que, cessant de servir aux simples besoins de la vie, il porte au cerveau des émotions liées à ses sensations, des pensées formulées par les divers modes que les sons affectent, au moyen de leur succession qui produit la mélodie, de leur groupement qui donne le rhythme, de leur simultanéité qui constitue l'harmonie, l'on a infiniment plus de peine à s'accoutumer à ses nouvelles formes qu'à celles qui affectent le regard. L'?il se fait bien plus rapidement à des contours maigres ou exubérants, à des lignes anguleuses ou rebondissantes, à un emploi exagéré de couleurs ou à une absence choquante de coloris, pour saisir l'intention austère ou pathétique d'un ma?tre à travers sa ?manière?, que l'oreille ne se fait à l'apparition de dissonances qui lui paraissent atroces tant qu'il n'en saisit pas la motivation, de modulations dont la hardiesse lui semble vertigineuse tant qu'il n'en a pas senti le lien secret, logique et esthétique à la fois, comme les transitions voulues par un style en architecture, impossibles dans un autre. En outre, les musiciens qui ne s'astreignent pas aux routines conventionnelles ont besoin plus que d'autres artistes de l'aide du temps, parce que leur art, s'attaquant aux fibres les plus délicates du c?ur humain le blesse et le fait souffrir, quand il ne le charme et ne l'enchante point.

Ce sont en premier lieu les organisations les plus jeunes et les plus vives qui, le moins encha?nées par l'attrait de l'habitude à des formes anciennes et aux sentiments qu'elles exprimaient, (attrait respectable même en ceux chez qui il est tyrannique), se prennent de curiosité, puis de passion, pour l'idiome nouveau, qui correspond naturellement par ce qu'il dit, comme par la manière dont il le dit, à l'idéal nouveau d'une nouvelle époque, aux types naissants d'une période qui va succéder à une autre. C'est grace à ces jeunes phalanges, enthousiastes de ce qui dépeint leurs impressions et donne vie à leurs pressentiments, que le nouveau langage pénètre dans les régions récalcitrantes du public; c'est grace à elles que celui-ci finit par en saisir le sens, la portée, la construction, et se décide à rendre justice aux qualités ou aux richesses qu'il renferme.

Quelle que soit donc la popularité déjà acquise à une partie des productions du ma?tre dont nous voulons parler, de celui que les souffrances avaient brisé longtemps avant sa fin, il est à présumer que dans vingt-cinq ou trente ans d'ici, on aura pour ses ouvrages une estime moins superficielle et moins légère que celle qui leur est accordée maintenant. Ceux qui dans la suite s'occuperont de l'histoire de la musique, feront sa part, et elle sera grande, à celui qui y marqua par un si rare génie mélodique, par de si merveilleuses inspirations rhythmiques, par de si heureux et de si remarquables agrandissements du tissu harmonique, que ses conquêtes seront préférées avec raison à mainte ?uvre de surface plus étendue, jouée et rejouée par de grands orchestres, chantée et rechantée par une quantité de prime donne.

Le génie de Chopin fut assez profond et assez élevé, assez riche surtout, pour avoir pu s'établir de prime abord, si non de prime saut, dans le vaste domaine de l'orchestration. Ses idées musicales furent assez grandes, assez arrêtées, assez nombreuses, pour se répartir à travers toutes les mailles d'une large instrumentation. Si les pédants lui eussent reproché de n'être point polyphone, il avait de quoi se moquer des pédants en leur prouvant que la polyphonie, tout en étant une des plus surprenantes, des plus puissantes, des plus admirables, des plus expressives, des plus majestueuses ressources du génie musical, ne représente, après tout, qu'une ressource, un mode d'expression, une des formes du style dans l'art, plus usité par tel auteur, plus général en telle époque ou tel pays, selon que le sentiment de cet auteur, de cette époque, de ce pays, en avaient plus besoin pour se traduire. Or, l'art n'étant pas là pour mettre en ?uvre ses ressources en tant que ressources, pour faire valoir ses formes en tant que formes, il est évident que l'artiste n'a lieu de s'en servir que lorsque ces formes et ces ressources sont utiles ou nécessaires à l'expression de sa pensée et de son sentiment. Pour peu que la nature de son génie et celle des sujets qu'il choisit ne réclament point ces formes, n'aient pas besoin de ces ressources, il les laisse de c?té comme il laisse reposer le fifre et la clarinette-basse, la grosse-caisse ou la viole d'amour quand il n'a qu'en faire.

Ce n'est certes pas l'emploi de certains effets plus difficiles à atteindre que d'autres, qui témoigne du génie de l'artiste. Son génie se révèle dans le sentiment qui le fait chanter; il se mesure à sa noblesse, il se témoigne définitivement dans une union si adéquate du sentiment et de la forme qu'il prend, qu'on ne puisse imaginer l'un sans l'autre, l'un étant comme le revêtement naturel, l'irradiation spontanée de l'autre. Rien ne prouve mieux que les pensées de Chopin eussent pu facilement être acclimatées par lui dans l'orchestre, que la facilité avec laquelle on peut y transporter les plus belles, les plus remarquables d'entr'elles. Si donc il n'aborda jamais la musique symphonique sous aucune de ses manifestations, c'est qu'il ne le voulut point. Ce ne fut ni modestie outrée, ni dédain mal placé; ce fut la conscience claire et nette de la forme qui convenait le mieux à son sentiment, cette conscience étant un des attributs les plus essentiels du génie dans tous les arts, mais spécialement dans la musique.

En se renfermant dans le cadre exclusif du piano, Chopin fit preuve d'une des qualités les plus précieuses dans un grand écrivain et certainement les plus rares dans un écrivain ordinaire: la juste appréciation de la forme dans laquelle il lui est donné d'exceller. Pourtant, ce fait dont nous lui faisons un sérieux mérite, nuisit à l'importance de sa renommée. Difficilement peut-être un autre, en possession de si hautes facultés mélodiques et harmoniques, e?t-il résisté aux tentations que présentent les chants de l'archet, les alanguissements de la fl?te, les tempêtes de l'orchestre, les assourdissements de la trompette, que nous nous obstinons encore à croire la seule messagère de la vieille déesse dont nous briguons les subites faveurs. Quelle conviction réfléchie ne lui a-t-il point fallu pour se borner à un cercle plus aride en apparence, determiné à y faire éclore par son génie et son travail des produits qui, à première vue, eussent semblé réclamer un autre terrain pour donner toute leur floraison? Quelle pénétration intuitive ne révèle pas ce choix exclusif qui, arrachant certains effets d'orchestre à leur domaine habituel où toute l'écume du bruit f?t venue se briser à leurs pieds, les transplantait dans une sphère plus restreinte, mais plus idéalisée? Quelle confiante aperception des puissances futures de son instrument n'a-t-elle pas présidé à cette renonciation volontaire d'un empirisme si répandu, qu'un autre e?t probablement considéré comme un contresens d'enlever d'aussi grandes pensées à leurs interprètes ordinaires! Que nous devons sincèrement admirer cette unique préoccupation du beau pour lui-même qui, en faisant dédaigner à Chopin la propension commune de répartir entre une centaine de pupitres chaque brin de mélodie, lui permit d'augmenter les ressources de l'art en enseignant à les concentrer dans un moindre espace!

Loin d'ambitionner les fracas de l'orchestre, Chopin se contenta de voir sa pensée intégralement reproduite sur l'ivoire du clavier, réussissant dans son but de ne lui rien faire perdre en énergie sans prétendre aux effets d'ensemble et à la brosse du décorateur. On n'a point encore assez sérieusement et assez attentivement apprécie la valeur du dessin de ce burin délicat, habitué qu'on est de nos jours à ne considérer comme compositeurs dignes d'un grand nom que ceux qui ont laissé pour le moins une demi-douzaine d'opéras, autant d'oratorios et quelques symphonies, demandant ainsi à chaque musicien de faire tout, même un peu plus que tout. Cette manière d'évaluer le génie, qui, par essence, est une qualité, à la quantité et à la dimension de ses ?uvres, si généralement répandue qu'elle soit, n'en est pas moins d'une justesse très problématique!

Personne ne voudrait contester la gloire plus difficile à obtenir et la supériorité réelle des chantres épiques, qui déploient sur un large plan leurs splendides créations. Mais nous désirerions qu'on applique à la musique le prix qu'on met aux proportions matérielles dans les autres branches des beaux-arts et qui, en peinture par exemple, place une toile de vingt pouces carrés, comme la Vision d'Ezéchiel ou le Cimetière de Ruysda?l, parmi les chefs-d'?uvre évalués plus haut que tel tableau de vaste dimension, f?t-il d'un Rubens ou d'un Tintoret. En littérature, Larochefoucauld est-il moins un écrivain de premier ordre pour avoir toujours resserré ses Pensées dans de si petits cadres? Uhland et Petofi sont-ils moins des poètes nationaux, pour n'avoir pas dépassé la poésie lyrique et la Ballade? Pétrarque ne doit-il pas son triomphe à ses Sonnets, et de ceux qui ont le plus répété leurs suaves rimes en est-il beaucoup qui connaissent l'existence de son poème sur l'Afrique?

Nous sommes certains de voir bient?t dispara?tre les préjugés qui disputent encore à l'artiste, n'ayant produit que des Lieder pareils à ceux de Franz Schubert ou de Robert Franz, sa supériorité d'écrivain sur tel autre qui aura partitionné les plates mélodies de bien des opéras que nous ne citerons pas! En musique aussi on finira bient?t par tenir surtout compte, dans les compositions diverses, de l'éloquence et du talent avec lesquels seront exprimés les pensées et les sentiments du poète, quels que soient du reste l'espace et les moyens employés pour les interpréter.

Read Now
F. Chopin

F. Chopin

Franz Liszt
F. Chopin by Franz Liszt
Literature
Download the Book on the App
O+F

O+F

John Moncure Wetterau
O+F by John Moncure Wetterau
Literature
Download the Book on the App
Forbidden Love (F&S)

Forbidden Love (F&S)

Ivan Maulana Rizky
Forbidden love between Seiran and Fransis, when they really loved each other and almost even got married, The bitter reality came from Mrs. Seiran, saying that Fransis was the girl's biological father . What's their story?
Billionaires ModernFirst loveCEOMafiaAge gapArrogant/DominantRomanceWorkplace
Download the Book on the App
Loving Lily- Sequel to Loving River

Loving Lily- Sequel to Loving River

LadyRosabella
Deputy Micah finds himself alone and lonely when his best friend finds himself happily married. While all the other men have families and homes to go to at the end of the day, Micah goes to the only place that feels like home. The saloon. Lily has escaped her rich powerful abusive father. She lo
Short stories
Download the Book on the App
F*** Me, Adrian

F*** Me, Adrian

Valerie Zastoupil
I admired her boldness and Innocence. She was really desperate. Too bad I was gonna take what I want In exchange for her invading my space. For a whole year at that. I turned to stare at her perky boobs again, how badly I wanted to put my hands in between and hold them both. How badly I wanted to s
Romance R18+ModernFirst loveSecret relationshipSexual slaveAttractiveBadboySweetArrogant/Dominant
Download the Book on the App
Born to rule ('Born to be a slave' sequel)

Born to rule ('Born to be a slave' sequel)

SBany
Thea's dreams have come true. She has her new love, new husband and a new life, but not everything is perfect. Being thrown in to a world so different, than she had ever experienced, brings new problems in her life, more worries, which will need to be overcome to keep her happiness and her family to
Romance CinderellaServantNobleArrogantSelfless
Download the Book on the App
Seduced by a King

Seduced by a King

J.J Williamson
What do you do when your smoking-hot, billionaire husband is still in love with your sister? Not ideal circumstances. However, your sister lives abroad so you can try and make your husband fall in love with you instead. But what do you do when said sister returns home anfter five years abroad and i
Billionaires ModernDivorceCEOAttractiveContract marriage Lust/EroticaArrogant/DominantRomanceBillionaires
Download the Book on the App
Seduced By The Billionaire

Seduced By The Billionaire

Shonzee
Jane Smart, a resilient orphan carrying the weight of her father's debts, seizes a golden opportunity to interview Dave Bernard, the revered CEO of a prestigious tech company. Little did she know that their one-night stand will unravel into an unexpected twist. Jane finds herself pregnant, and Dav
Billionaires R18+ModernPregnancyCEOAttractiveOne-night standDramaArrogant/Dominant
Download the Book on the App
Seduced By Shadows

Seduced By Shadows

Aisha A.
"In the corner of a secret nightclub, my eyes met a stranger's. He exuded a commanding and powerful aura. Our gazes locked and an electric spark leaped between us, drawing us together like a magnetic force. The dance of seduction began, a silent exchange of desire and intrigue. The music's sultry te
Romance R18+CrimeModernMafiaAttractiveArrogant/Dominant
Download the Book on the App
Seduced By The Enemy

Seduced By The Enemy

Jemaima Wilson
Ava Sinclair swore she'd never fall for the wrong man again-not after surviving the ruthless charm of Lucas Ward. Now, years later, she's stronger, smarter, and guarded... until Sebastian Holt crashes into her life with his arrogant smirk, dangerous loyalty, and a passion that tears down every wall
Romance ModernBetrayalRevengeCEOAttractiveTwistArrogant/DominantRomance
Download the Book on the App

Trending

Before I Love You The Rise of the Frost Dragons Blue Triangle Series 2 Pyromania The First Chosen Alpha (Prequel) Long road to go XAVIER S SHAMMA The legend of Luyota
SEDUCED BY THE HEIRESS

SEDUCED BY THE HEIRESS

Empress Kei
One wild night with a stranger. It was number one on Krystal Miranda's list to get laid before settling in Clayland. Then, she thought she had left her one-night stand behind in the past but fate had other plans. As she struggles to settle down in Clayland, she unexpectedly comes face to face with
Billionaires R18+ModernBetrayalCEOAge gapArrogant/Dominant
Download the Book on the App
SEDUCED BY SUCCESS

SEDUCED BY SUCCESS

Karl Mario
When struggling artist Ethan Walker receives an offer he can't refuse from billionaire entrepreneur Juliana Saint Clair he's thrust into a world of opulence and excess. Juliana's proposal is to create art for her empire. She'll provide the resources and exposure he's always dreamed of. As Ethan beco
Billionaires SuspenseModernBetrayalLove triangleCelebritiesCEOAttractiveNoble
Download the Book on the App
My student seduced me

My student seduced me

Evgenia Parisiena
My new student is a scoundrel and a pervert. He's trying to get me in bed. The bastard has already seduced six teachers, and he won't rest until we have sex. I wish I can't just quit. I need a job at this University to raise the daugther of ma dead sister.
Romance
Download the Book on the App
Seduced by His Touch

Seduced by His Touch

De Lyon
"Why do you hate me so much?" Amara asked, her voice shaking. "I've never done anything to you." Where power, passion, and painful memories collide, Amara Denz never imagined the same man who made her life a living hell at Lyons College would be her ruthless, charismatic boss. Now CEO of a thriving
Romance R18+CEOAttractiveGXGOffice romanceArrogant/DominantRomanceWorkplace
Download the Book on the App
Neuro Love: "A Sequel To My Type Of Girl"

Neuro Love: "A Sequel To My Type Of Girl"

Man-Ish
The real love cannot be defined; it is just an emotion, and emotions are the language of our hearts. And the heart wants what it wants. This book is the sequel to the book My Type of Girl. The previous book made a strong impact among the youth, making it a great love story. But what are love stories
Romance MysterySuspenseModernFantasyLove triangle
Download the Book on the App
My Sister's Husband F*** Me

My Sister's Husband F*** Me

Jessy chro
Victoria is a nineteen-year-old girl who was forced by her mother to go live with her sister because her mother could no longer channel her. She had become something else in the neighborhood where she lived with her mother. She had been blown up by practically every man in the neighborhood. This sit
Young Adult
Download the Book on the App
Seduced For Pleasure

Seduced For Pleasure

L.C
Charlotte Turner, an ambitious young journalist, is determined to uncover the truth about Alexander Knight, an enigmatic New York businessman known for his domineering personality and dark lifestyle. What begins as an investigation for a big story turns into an intense experience of passion and desi
Billionaires ModernSexual slaveArrogant/Dominant
Download the Book on the App
Seduced by the Night

Seduced by the Night

Priscilla Padilla
"Just one night?" I questioned, slowly bringing my gaze back up to his. "Just one night," he reiterated. I took a deep breath. "If I do this, then you have to promise me that one night will be enough." "Dove, you know I can't make that promise." He closed the distance between us, reaching up to c
Romance FamilyModernSecret relationshipMultiple identitiesAttractiveContract marriage BadboyLust/EroticaArrogant/DominantTransactional love
Download the Book on the App
Seduced By The CEO

Seduced By The CEO

O.S.A
Sophia, a powerful CEO and her new secretary, Andre started off hating each other but things get heated fast, leading to a secret romance. Is there more totheir connection than just physical attraction
Romance ModernCEOOffice romance
Download the Book on the App
 seduced by the therapist

seduced by the therapist

mary leterman
I'm kind of apprehensive. I don't really know what's going on, I just know that I must meet someone. A person who must be angry with me and who is important enough to coerce me into coming escorted by two security guards to this luxury hotel. This morning when I woke up I didn't feel very well f
Billionaires R18+ModernForced loveCEODoctorAttractive
Download the Book on the App

Trending

Introduced Sequel to Seduced F novel read online freeIntroduced Sequel to Seduced F pdf free downloadIntroduced Sequel to Seduced F epub vk downloadIntroduced Sequel to Seduced F amazon kindleIntroduced Sequel to Seduced F novel reddit
Read it on MoboReader now!
Open
close button

Introduced Sequel to Seduced F

Discover books related to Introduced Sequel to Seduced F on MoboReader. Read more free books online about Introduced Sequel to Seduced F novel read online free,Introduced Sequel to Seduced F pdf free download,Introduced Sequel to Seduced F epub vk download.